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  • Samedi 12 Janvier 2019

    Je m’appelle Ludivine, j’ai 28 ans, les cheveux mi- longs noirs ondulés, les yeux verts. Je mesure 1m68 pour 55 kg. J’ai une poitrine bien ferme 85C en forme de pomme. Je ne porte jamais de sous-vêtements sauf quand j’ai mes règles. J’adore allumer les hommes pour les faire bander. Je vis avec Ludo depuis 6 mois et il adore ça.

    Il est 17h00 et je suis invitée à une soirée anniversaire d’un vague copain de Ludo que je ne connais pas. Je suis sous ma douche et je pense à comment je vais m’habiller. Il fait froid mais j’ai envie de m’exhiber. Pas de sous -vêtements  c’est décidé mais quoi mettre sans avoir trop froid, du moins le temps de la route car il fait 0 dehors voir moins. Ludo viens vers 20h00 me chercher, j’ai le temps d’y penser  mais déjà une idée trotte dans ma tête et plus j’y pense, plus elle me paraît bonne.

    Je sors de ma douche, me sèche les cheveux, me maquille enfin bref il est 19h00 quand je rentre dans ma chambre et ouvre mon placard. Je sais maintenant comment je vais me vêtir peu mais chaudement. Tout d’abord les bas en laine noire qui montent mi-cuisses. Je les enfile et m’admire dans la glace. Je me kiffe grave, pour un peu je sortirais comme ça. J’attrape mon mini kilt rouge et un pull noir moulant. Une fois habillée je tourne et virevolte devant mon miroir. Je me baisse à peine et je peux voir  mon cul et si j’écarte un peu mes cuisses j’aperçois mon petit abricot. Je le sens déjà mouillé. Mes seins pointent et mes tétons semblent vouloir percer la laine qui les recouvre. Je chausse mes chaussures rouges à talons de 10 cm, c’est la touche finale.

    Ludo arrive et je prends appui sur l’accoudoir du fauteuil, cuisses un peu écartées et légèrement penchée en avant. Lorsqu’il franchit la porte du salon, il pousse un waouh ! Et me dit que j’allais faire bander tous les mecs ce soir. Je sais qu’il adore ça et je suis sûre de lui faire plaisir. Je sais aussi qu’il bande déjà mais je lui interdis de me toucher car sinon nous ne sortirons pas. J’enfile mon manteau long noir, me coiffe d’un béret rouge et nous voilà partis sans pouvoir m’empêcher de saisir le sexe raide de Ludo au moment où il verrouille la porte de l’appartement. Il me regarde,  me sourit et me dit qu’il va sûrement passer la soirée dans cet état-là. Je lui dis que je viendrai vérifier régulièrement.

    Nous arrivons chez l’ami de l’ami qui se présente, « Sylvain ». Il me fait la bise, serre la main à Ludo et nous invite à rentrer. Arrivés dans le salon j’entends un cri poussé simultanément par 3 hommes assis dans le canapé « ah !! Enfin une femme ». Sylvain me les présente, « Alain, Régis son père retraité et Cédric son jeune fils, apprenti dans la boîte ». Je dis « 3 générations en somme » et leur fais la bise. Ils saluent Ludo.

     Sylvain m’invite à retirer mon manteau mais je lui dis que je préfère me réchauffer un peu avant. Je lui confis mon béret et m’assoie dans un fauteuil qui fait face au canapé. Ludo s’assoie sur l’accoudoir pour laisser le deuxième fauteuil libre pour Sylvain. Il me glisse furtivement à l’oreille « tu vas faire fureur ce soir, ma puce ».

     Sylvain reviens avec 2 verres de whisky en disant qu’il ne savait pas qu’il y aurait une femme ce soir sinon il aurait pris du champagne .Je lui réponds que ce n’est pas grave que j’aime bien le whisky et que je ne pensais pas être la seule femme ce soir en jetant un œil un peu noir vers Ludo.

    Sylvain nous sert un autre verre et me demande si je n’ai pas trop chaud avec mon manteau. J’hésite et finalement me lève et l’enlève. C’est le silence tout à coup et je sens tous les regards sur moi. C’est à la fois gênant et jouissif. Comme je tends mon manteau à Sylvain Ludo lance le happy  birthday repris en chœur par tous.

    Je me rassoie dans mon fauteuil jambes croisées et Ludo me glisse « vas-y, fais les bander ». Je l’embrasse en décroisant mes cuisses et lui dis que ça peut être dangereux. Tout en m’embrassant il me dit qu’ils ne quittent pas mon entre jambes des yeux et qu’il adore les voir mater. Pour lui faire plaisir et pour le mien aussi j’écarte un peu plus mes cuisses. Pensant qu’ils ont bien vu que j’étais nue sous ma jupe je me remets au fond de mon fauteuil jambes croisées mais je fais en sorte de bien les écartées chaque fois que je pose mon verre sur la table de salon ou que je le reprends. Je les vois s’enfoncer dans le canapé et pencher la tête  pour avoir une meilleure vue. Discrètement je les regarde et je les vois se remettre leurs queues raides en place. Sylvain est sûrement celui qui n’a rien vu et il met de la musique.

     C’est un Zouk. Ludo part aux toilettes et aussitôt Régis m’invite à danser. Sous les encouragements de tous j’accepte. Il m’attrape par la taille et me plaque contre sa cuisse qu’il a placée entre mes jambes. Je lui dis qu’il a l’air d’être en forme pour son âge. Il me répond qu’il a 68 ans et descend alors sa main sur mes fesses et me plaque encore plus fort sur lui. Je continue de danser sous les applaudissements tous en remontant sa main sur ma taille. La chanson est finie et je le remercie. Il me fait un bisou dans le cou. Je le regarde surprise et sourit.

    Comme je viens me rassoir, je m’aperçois que Sylvain s’est assis dans le canapé en face du fauteuil. Je me dis qu’il a dû être mis au courant pour ma tenue. Ludo reviens et je ne sais pas pourquoi, je mets alors ma cuisse sur l’accoudoir montrant toute mon intimité aux autres et je lui dis de s’assoir dans l’autre fauteuil. Il s’exécute et Sylvain propose de resservir un verre. Comme il se lève je lui dis que je lui amène les verres. Je me lève et pour les emmener, je passe devant le canapé et me baisse. Je sens une main sur mon cul puis une autre. Je regarde Ludo qui n’a rien vu car il suit Sylvain des yeux.

    J’amène les verres à Sylvain. Il sert les verres et me demande si je suis une salope. Je lui réponds que ça dépend de ce qu’il entend par salope,  moi  je suis une femme qui aime faire bander les mecs, me faire peloter, ça fait bander mon mec et j’adore baiser. Il me regarde, pose la bouteille sur la table, se retourne vers moi et je mets ma main sur sa queue. Elle est énorme et dure. Il passe sa main sous mon pull, le soulève et commence à me sucer les tétons. Je lui serre de plus en plus fort sa queue. Le désir monte en moi et je commence à le branler à travers son pantalon. Des cris retentissent du salon et Sylvain crie qu’on arrive, je lui dis que je vais me rafraîchir à la salle de bain.

    Je reviens dans le salon et je n’ai pas d’autre place qu’entre Régis et Alain sur le canapé. Je blague en disant à Sylvain qu’il a pris mon fauteuil. Je vois leurs mains posées où je dois m’assoir .Je m’assoie plus sur la main d’Alain. Son doigt est au bord de mon anus. Je me penche en avant en écartant les fesses pour prendre mon verre sur la table de salon. Il me pénètre tout de suite et commence à bouger. Je me redresse et m’enfonce bien dessus Je serre bien mon rectum autour de son doigt qui s’excite et Régis me caresse les fesses. Je regarde Ludo qui s’endort. « Encore une fois il a trop picolé » .Je me lève avant de commencer à jouir et vais le secouer. Il me baragouine n’importe quoi. Je m’énerve, le secoue, le claque mais rien ni fait. Sylvain se lève, me serre sur sa queue raide et me dit de me calmer. « Ludo à un peu trop bu mais il avait dû boire avant, on passe une bonne soirée, je vais mettre un peu de musique douce pour détendre l’atmosphère ». Il met Sardou « Je vais t’aimer » et m’invite à danser. J’en veux tellement à Ludo que j’accepte. Il passe ses mains sous mon pull et me caresse les seins. 2 autres mains me caressent les fesses. Je suis portée par la musique. J’embrasse Sylvain puis Alain qui se colle sur moi sur ma droite et puis Régis sur ma gauche. Je serre la queue de Sylvain dans ma main et je le branle. Elle est énorme, j’ai envie de la voir. J’aperçois Cédric qui se masturbe.

    La chanson est finie, je me retire de la danse et vais voir Ludo. Je suis penchée devant Ludo pour essayer de le réveiller. Une queue me pénètre profondément sans mal. J’en ai trop envie. Elle va et vient doucement dans ma chatte et je ne sais pas qui c’est, c’est encore plus excitant. Je tortille mon cul, je gémis, Il vient plus vite et plus fort. Je jouis, je crie. Il se retire sans jouir. Un autre me pénètre. C’est sûr ce n’est pas le même. Il me tamponne fort et vite et envoie rapidement sa purée. Je sens la chaleur de son foutre en moi. Je reconnais le râle du vieux Régis et il se retire.

    Ils me mettent un bandeau sur les yeux. Ils sont 3 et il faut que je devine à qui est la queue en les suçant. J’attrape une queue. Je sais que c’est Sylvain. J’ai trop envie de le sucer. Sa queue est énorme. J’ouvre grand ma bouche et je le pompe et le branle longtemps. Il se retire. Une voix dit « c’est qui ?». Je dis que je ne sais pas.

    J’attrape une autre queue.  Elle est raide plaquée sur le ventre. Je pense que c’est le petit jeune Cédric. Je lui dis «  Je ne sais pas qui tu es mais allonge toi pour que je puisse mieux te sucer ». Il se met sur le dos et je le suce et le branle comme une morte de faim tellement je suis sûre de sucer un ado. Je sens un gland se frayer un chemin au bord de mon minou et me prendre fortement. Je suis surprise mais heureuse. L’ado souffle fort, je crois que je l’ai peut- être mordu. Je jouis comme une malade car je suis sûre que c’est Sylvain qui me défonce la chatte avec sa grosse queue mais je garde la queue du gamin dans ma main. Je ne peux pas le sucer je jouis trop. Le gamin s’est relevé car je n’arrivais plus à le branler tellement Sylvain me secouait et je prenais un tel pied que je ne pouvais plus rien faire d’autre. Il finit par jouir en moi et je sens la chaleur de son foutre qui inonde mon vagin.

    Sylvain dit au gamin « vas-y défonce la Cédric, elle est chaude à point pour ton dépucelage ».  Il me pénètre tout doucement mais enfonce sa verge à fond puis donne des petits coups de reins rapides. C’est bon. Il ressort sa queue et recommence  5 ou 6 fois la même chose.  Il accélère les va et viens en sortant et rentrant sa queue à fond puis il recommence comme au début. Les autres sont à genou autour de moi et leurs 6 mains caressent tout mon corps. Cédric me fais jouir chaque fois qu’il accélère ses coups de boutoir sous les encouragements des autres. Je dois en être à ma dixième extase quand je le sens se crisper sur mes hanches et lâcher tout son jus dans ma chatte. Il reste sans bouger enfoncé jusqu’à la garde et je ne le sens pas débander.

    Je lui dis de se retirer et de s’allonger sur le dos. Je constate  que mon ressenti était exact alors je me mets à califourchon au-dessus de lui et m’empale sur sa queue. Alain me présente sa queue devant la bouche que j’ouvre en grand pour l’accueillir. Je prends la queue de Sylvain dans ma main droite et celle de Régis dans ma main gauche et les branlent. Cédric me défonce encore avec vigueur, c’est l’extase quand Alain décharge dans ma bouche. J’ai du mal à avaler son foutre qui coule sur mon menton et tombe sur Cédric. Sylvain retire sa queue de ma main et disparait. Régis l’ancien voudrait bien mais n’arrive plus à bander et va s’assoir dans le canapé. Je m’acharne alors sur la queue de Cédric qui me tient par les hanches et finit par remplir à nouveau ma chatte de sperme.

    Régis est parti et Alain est dans le canapé, Ludo n’a pas bougé du fauteuil et ronfle. Sylvain est sous la douche et j’ai envie de le rejoindre. Je dis à Cédric que je vais aux toilettes. Je rentre dans la salle de bain et rejoins Sylvain sous la douche. Même au repos sa queue est déjà énorme. Il ne paraît pas surpris de me voir. Il me sourit et me dit « t’en veux encore ? » je lui réponds« Non pas aujourd’hui mais je suis impressionnée par la bête que tu as entre les jambes et j’aimerais la dompter encore ». Nous prenons notre douche en nous savonnant mutuellement. Il insiste sur mes points très sensibles et j’insiste sur sa queue qui durcit au moindre frôlement. Nous nous embrassons et décidons de sortir de la douche. Je lui demande de ne rien dire à Ludo pour ce qui s’est passé ce soir, d’en parler aux autres et qu’ils sont tous nos invités pour le 19 Janvier.

    Revenus au salon, tout le monde dort. Sylvain réveille Alain et Cédric et je réveille Ludo qui n’arrête pas de s’excuser auprès de Sylvain pour avoir gâché son anniversaire en dormant aussi tôt. Sylvain lui dit qu’on a dansé un peu mais qu’on a beaucoup parlé. Je dis à Ludo d’aller faire chauffer la voiture car il fait très froid. Il est parti, j’en profite pour rouler des pelles à Sylvain, Alain et le gamin qui me pelotent comme des malades. Je leur demande de garder le secret et qu’ils sont invités samedi prochain. Ils acceptent avec plaisir. Je leur dis de prévenir Régis mais ils n’ont pas l’air trop chaud.

    Dans la voiture, Ludo me demande comment je trouve ses potes.  Il pense qu’ils auraient pu essayer de me draguer ou de me peloter. Je lui dis qu’ils n’ont rien fait et que c’est sûrement de ma faute car je n’ai pas osé les allumer vu qu’il dormait ça n’aurait servi à rien. Je me rends compte qu’il ne se rappelle même pas quand j’ai montré ma chatte à tous et que je lui ai dit d’aller dans le fauteuil.

    Vivement SAMEDI. Ludo va prendre l’apéro tout l’après midi.

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  • Dimanche 13 janvier 2019

    Il est 10h00 du matin. Mon téléphone sonne. C’est Coraline. Coraline c’est ma meilleure amie, tout aussi exhibe que moi et je lui dis tout. On a déjà fait des parties à 3 avec Ludo et je sais qu’il la saute aussi quand je ne suis pas là. Il croit que je ne le sais pas mais elle aussi, me dit tout.

     Ludo n’a pas ouvert un œil, il va sûrement avoir mal au crâne quand il va se réveiller. Je décroche et avant qu’elle ne parle je lui dis de venir prendre un café, que j’ai des choses à lui raconter et je raccroche. Elle m’envoie un SMS « ok ». Je me lève et vais à la salle de bain.

    11h00, j’ai pris ma douche et enfilé un long tee-shirt blanc très échancré aux aisselles. La sonnette retentit. Je courre ouvrir la porte à Coraline mais c’est Adrien un pote de Ludo. Il siffle et lève les pouces en me voyant. Le temps de surprise passé, sans me cacher, bien au contraire, je lui dis que Ludo dort encore car il a beaucoup bu hier mais que je veux bien lui faire un café en attendant qu’il se réveille. Il accepte et je l’invite à rentrer dans la cuisine. Comme je ferme la porte, je le vois dans le miroir de l’entrée se pencher pour mater mon cul. Je prends mon temps.

    Je passe devant lui et m’étire longuement pour faire remonter mon T-Shirt à mi- fesses. Je lui indique la chaise où s’assoir, je sais qu’il aura une vue panoramique de tous mes mouvements de ce point de vue-là. Je me baisse jambes un peu écartées sans plier les genoux pour prendre une carafe dans un placard bas. Je cherche bien sûr car ce n’est pas la bonne porte. Il doit avoir une superbe vue sur mon petit abricot. J’ouvre la porte d’à côté je fouine un peu. Je jette un œil furtif dans sa direction. Il est accroupi son portable à la main. Je continue comme si je n’avais rien vu.

    Son expresso est fini. Je lui amène sa tasse et il me dit que Ludo à de la chance d’être avec une belle fille comme moi. Je le remercie et sa main passe sous mon T-Shirt et me caresse les fesses. Je me recule et je me prépare un café sans rien dire. Je lui tourne le dos devant ma cafetière et je sens ses mains passer dans les échancrures de mon T-Shirt et saisir mes seins. Il coince sa queue entre mes fesses et m’embrasse dans le cou. Je frissonne, je me retourne et lui roule une pelle. Ses mains pétrissent mes fesses et la sonnette retentit à nouveau. Il ne veut pas me lâcher. Son pantalon de jogging est tendu  par sa queue et forme une espèce de tente horizontale.

     Je vais ouvrir. Coraline est magnifiquement sexy, bottines hauts talons, minijupe moulante ras du cul qui remonte quand elle marche, pull hyper moulant que ses bouts de seins semblent vouloir percer. Je lui fais la bise et lui dis qu’elle arrive juste à temps. Elle me demande pourquoi et d’un geste de la main je lui montre Adrien. Elle le regarde, me regarde de la tête au pied et se met à rire. Je ris aussi. Adrien tente péniblement de cacher son érection en mettant les mains dans ses poches.

    Coraline prend la direction du salon et me demande de lui payer l’apéritif. J’acquiesce et demande à Adrien de nous suivre. Coraline s’est assise dans le fauteuil qui fait face à la porte et je vois de suite qu’elle n’a pas de culotte. Je lève mon pouce et tire la langue sur le côté. Elle me fait un clin d’œil. Je dis à Adrien de s’assoir dans le fauteuil qui est en face de Coraline et me dirige vers le bar. Je sers les verres et je regarde dans leur direction. J’aperçois les jambes de Coralie écartées et Adrien avachi dans son fauteuil les yeux rivés en direction de son entrejambe.

    Je reviens avec les verres et en les posant sur la table je regarde le minou de Coraline. Sa jupe est tellement remontée qu’on voit très bien qu’elle est complètement épilée. Je lui fais un clin d’œil et m’assoit sur son accoudoir jambes écartées, minou bien en vue en direction d’Adrien. Nous discutons de tout et de rien Coraline et moi en donnant l’impression à Adrien que l’on ne s’occupe pas de lui mais bien au contraire, on peut jeter des regards dans sa direction sans qu’il s’en aperçoive tellement ses yeux sont fixés sur nos minous.

    Il a mis la main droite dans sa poche pour tenir sa queue et sort son portable. Il mime de chercher quelque chose dans son menu puis le tient debout dans notre direction posé sur son accoudoir. Il jette un œil à son écran de temps en temps en donnant un mouvement rotatif lent à son téléphone. Coraline me demande un autre verre. Je prends son verre et celui d’Adrien et je retourne au bar. Adrien à reposer son téléphone à plat sur son accoudoir. Je leur ramène leurs verres et leur dit que je vais aller m’habiller et réveiller Ludo car j’ai envie d’un resto.

    Je secoue Ludo et lui dis qu’Adrien est là. Il me répond qu’il le fait chier et se retourne. Je lui dis que Coraline est là aussi. Bizarrement, il se lève aussitôt sans un mot et fonce à la salle de bain. Je me dis alors qu’il faut que je sois au moins aussi provocante qu’elle en me dirigeant vers mon armoire. Je prends mes collants noirs sans fond et ma robe en jean noir qui se ferme avec des boutons pression sur l’avant. Elle est si courte que j’ai à peine besoin de me baisser pour qu’on voie mes fesses.  Je l’ai achetée la semaine dernière. Ludo adore mais je ne l’ai pas encore mise pour sortir.  Je m’habille. Je ne ferme pas le premier bouton du bas et les 2 derniers. Je marche face à la glace et je vois la naissance de mon minou. En haut le décolleté commence sous la naissance de mes seins. Je me trouve modestement super bandante.

    J’arrive dans le salon. Ludo est assis un verre à la main sur l’accoudoir d’Adrien. Coraline est en pleine exhibition devant eux. Adrien est entrain de montrer quelque chose dans son portable à Ludo. Coraline me dit que je suis superbe à croquer. Elle me demande si j’ai un haut plus joli à lui prêté.

    Nous sommes dans la chambre et elle me dit que Ludo lui à rouler une pelle et doigtée quand Adrien est allé aux toilettes sûrement pour se branler. Je souris. Je lui sors un corsage noir transparent. Elle retire son pull. Ses seins superbes pointent. Elle le met et le noue à la taille. Elle me dit qu’elle passe à la salle de bain pour se rafraîchir le minou qui est trempé.

    Je suis dans la cuisine. Ludo arrive, me retourne et d’un coup sec dégrafe tous les boutons de ma robe. Ses mains parcourent tout mon corps très vite pendant qu’il suce mes seins. Sa main passe entre mes cuisses. Il me doigte. Par-dessus son épaule j’aperçois Adrien qui essaye de se cacher pour mater et filmer avec son téléphone. Je feins la jouissance le visage tourné vers lui. Je demande à Ludo d’arrêter parce qu’il faut qu’on y aille. Il reboutonne ma robe en laissant les trois derniers boutons ouverts. Je souris,  lui roule une pelle et nous allons dans le salon où Adrien est retourné s’assoir.

    Coraline arrive. Elle est vraiment bandante. Il est presque 13h00 nous nous décidons à partir. Nous prenons une seule voiture. Les hommes devant. Nous discutons beaucoup pour nous mettre d’accord sur le restaurant. Super resto. Mc Do. Vexée Je mange rapidement ma salade, je demande les clés de la voiture à Ludo et je sors très vite.

    Les autres sortent. Ludo roule en direction de la mer. Nous nous arrêtons dans un petit village portuaire. Il fait vraiment froid et venteux. J’aperçois un bar et propose qu’on aille prendre un café. Nous entrons dans le bar, le patron, soixante-dix ans au moins nous jette à peine un regard. Le comptoir est vide. Je m’assoie sur le seul tabouret de l’établissement. «  4 cafés » dit Ludo.

     Je vois dans l’arrière salle un billard et 3 tables autour. L’une d’elle est occupée par un homme peut-être un peu plus jeune que le patron. Il est barbu, une casquette de marin  et il a un verre de vin rouge à la main. Je me lève et fait le tour du billard. Je vois que le monnayeur est juste devant la table du vieux. Je m’avance, je lui tourne le dos et je me penche pour lire la somme inscrite sur l’étiquette. Je peste car je n’arrive pas à lire la somme inscrite. Le vieux dit « c’est 4 euros ». Je tourne la tête vers lui toujours penchée sur le monnayeur. Il a le menton appuyé sur la table les bras ballants. Je lui souris, le remercie et retourne m’assoir au bar. Je bois mon café, je demande à Coraline pour faire un billard entre filles. Elle me dit qu’elle ne sait pas jouer. Je lui dis que ce n’est pas grave car moi non plus. Les gars disent « et nous ? ». Je leur dis vous buvez un coup et vous nous donnez 4 euros. Je donne les pièces à Coraline qui s’est mise à côté de moi.

    Le vieux s’est redressé sur sa chaise. Coraline passe devant lui. Les yeux du vieux ne quittent pas son petit cul. Elle se baisse pour introduire les pièces. Le menton du  vieux tombe sur sa table. Elle n’arrive pas à tirer la manette. Je la rejoins et prend sa place. Je n’y arrive pas non plus. Je tourne la tête vers le vieux. Il a les 2 mains agrippées sur les bords de sa table. Je lui demande s’il peut nous aider. Il se lève, met la main dans son pantalon et sans gêne redresse son sexe. Il s’avance, je suis toujours penchée. Il passe ses mains sous ma robe, m’attrape par les hanches pour me pousser, retire sa main gauche pendant que sa main droite vient sur mes fesses et donne un coup de poing sur le monnayeur. Il tire sur la manette et les boules tombent puis il me tapote les fesses et retourne s’assoir. Nous installons les boules. Le vieux se lève et vient s’assoir à la table derrière le billard. Coraline se penche jambes écartées pour commencer la partie. Sa jupe est remontée à mi- fesses. Le vieux derrière a les yeux écarquillés. Coraline prend son temps pour jouer. Elle fait coulisser plusieurs fois la queue sur sa main. La porte d’entrée du bar retentit. Coraline se redresse, je me retourne.

    L’homme qui vient de rentrer est la copie conforme de l’ancien qui mate le cul et le minou de Coraline. Il lève sa casquette pour saluer le patron, commande un ballon et demande si Lucien est là. Le patron lui dit qu’il est assis au fond. Il entre dans l’arrière salle. Coraline est à nouveau penchée sur le billard. Il demande à Lucien comment ça va. Lucien sans quitter le cul de Coraline des yeux fait un geste de la main vers elle et répond « on ne peut mieux ». Il prend une chaise à une autre table et s’assoie à côté de Lucien.

    Coraline joue, la queue ripe sur la boule blanche qui fait 2 ou 3 tours et s’arrête. On s’éclate de rire. Coraline est allongée sur le billard. Sa jupe ne cache plus rien. Elle prend la boule blanche, se redresse, redescend sa jupe, se retourne et demande à Lucien de l’aide. Il se lève, remet la main dans son pantalon et s’avance.  Coraline a repris la position pour jouer. Il se place à sa gauche, se penche en posant sa main droite sur ses fesses presque nues. Il place son index gauche sur la queue et dit à Coraline de jouer. Elle tortille du cul et joue. La boule blanche percute les autres. Coraline crie et saute sur place, la main de Lucien toujours sur le cul. Elle lui fait une bise et se pousse. Il retourne s’assoir et serre la main de son pote.

    Je suis de 3/4 dos à eux pour jouer. Je me penche bien et d’un coup d’œil furtif je vois l’ancien se pencher sur sa droite. Je n’arrive pas à tenir la queue en appui sur ma main. Je tourne la tête et lui demande de l’aide. Je lui demande son prénom « Maurice »,  « Ludivine ». Il met sa main sur mon cul et ses doigts viennent titiller mon minou. Il me dit d’écarter plus les jambes et de me pencher plus sur le billard pour avoir une meilleure stabilité. Je me redresse, me recule, écarte bien les jambes et me penche sur le billard. Je sens son doigt me pénétrer sans effort tellement je suis trempée. Je lâche un petit humm !, son doigt bouge dans ma chatte. Il place son autre main sur la mienne, je joue et je rate. Je me redresse en râlant et Maurice retourne s’assoir.

    Lucien s’est déjà levé de sa chaise. Coraline vient se mettre devant lui. Elle lui demande de la guider pour prendre la meilleure position. Il l’attrape par les hanches, la plaque contre lui et se déplace légèrement. Sa main gauche saisi le sein de Coraline et sa main droite la pousse dans le dos pour qu’elle se penche en avant. Il s’accroupit derrière elle, lui saisit les chevilles et guide ses pieds pour lui écarter les jambes. Coraline et moi rions, sa jupe est pratiquement remontée jusqu’à sa taille. Lucien à ses yeux à la hauteur de son minou où il met son énorme nez. Il se redresse et introduit son index et son majeur dans sa chatte et lui dit de jouer. Elle rate  son coup mais ne se redresse pas, bien au contraire, elle a posé sa tête sur le billard et gémit de plaisir. Lucien est entrain de lui astiquer la chatte avec ses doigts.

    Avec un grand sourire, Maurice me dit « à toi de jouer ». Je regarde vers le bar, je vois le vieux patron avec le pantalon sur les chevilles qui se branle. Ludo et Adrien ne sont plus là. Je regarde vers Coraline, Lucien essaye de la prendre avec son érection molle. Je me mets devant Maurice, écarte mes cuisses et dégrafe complètement ma robe. Il baisse son pantalon, il n’a rien dessous et à ma grande surprise sa queue est bien raide. Je monte sur le billard et m’allonge dessus. Maurice me suit et il me prend dans la position du mercenaire. Je n’ai pas encore vraiment pris mon pied qu’il jouit déjà et se retire. Il se met debout sur le billard et se rhabille. Je descends du billard et ragrafe les boutons de ma robe. Coraline suce Lucien qui a du mal à bander. Il jouit quand même dans sa bouche.

    Je vais aux toilettes pour me rafraîchir. Je ressors et Coraline prend ma place. Je vais au bar et demande au patron où sont nos amis. Il me dit qu’ils se faisaient chier et sont partis faire un tour à pied. Coraline me rejoint et nous commandons un whisky que nous avalons cul sec. Je demande combien l’on doit, le patron nous dit que c’est offert par la maison. Nous partons sans plus de discours.

    Nous sommes dehors, mortes de froid. La voiture est là mais verrouillée et aucune trace des garçons. Nous rentrons à nouveau dans le bar et je demande au patron d’appeler un taxi. Lucien et Maurice sont ravis de nous revoir et nous offrent un verre en attendant. Nous commandons à nouveau un whisky. Leurs mains se baladent sur nos fesses, nous tortillons du cul, nous rions tous ensemble. Le taxi arrive et klaxonne. Nous faisons un petit bisou sur la bouche à nos 3 petits vieux et partons.

    Je raconte à Coraline ma soirée de la veille. Le chauffeur écoute mais ne fait aucun commentaire. Coraline me demande de l’inviter samedi prochain mais je n’ai pas du tout envie. Je lui dis franchement et elle boude. Le chauffeur me regarde dans son rétro et sourit. Nous sommes arrivés et je paye la course. Il me dit qu’il a fini sa journée et qu’il prendrait bien un verre, je lui réponds que cela aurait été avec plaisir mais que nous sommes crevées et nous sortons.

    Coraline se dirige vers sa voiture et me dit qu’elle rentre chez elle. Je me dis qu’elle est vraiment vexée que je ne l’ai pas invitée à venir samedi prochain mais je sais que ça ne durera pas. Je rentre chez moi, retire ma robe et fonce sous la douche. Il est 21h00, j’ai mangé une pomme, je somnole dans mon canapé et Ludo n’est pas rentré. Je décide d’aller me coucher et m’endors très vite.

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  • Lundi 14 janvier 2019

    Il est 18h00, je suis nue dans mon canapé. Je n’ai pas vu Ludo ce matin. Je décide de regarder un film que Ludo a fait le  21 août dernier, jour de mes 28 ans. J’avais eu envie d’aller m’exhiber dans le petit village où nous étions en vacances et qu’il me filme.

    J’avais mis une minijupe plissée marron avec une ceinture large élastique très pratique car je peux la mettre plus ou moins haute sur mes hanches ou ma taille, c’est-à-dire mi- cuisses ou ras du cul. En haut un débardeur blanc échancré sous les bras.

    Nous sommes allés au centre du village où il y a une allée goudronnée, bordée d’arbres avec des bancs de part et d’autre. Je marche une vingtaine de mètres devant Ludo. Je m’arrête jambes écartées et me baisse en attrapant mes chevilles. Je garde la pose quelques instants, me redresse et tourne sur moi-même.

    Je m’assoie sur un banc, jambes croisées et Ludo s’assoie sur un autre en face. Je décroise mes jambes et les écarte lentement mains sur les genoux avant de les refermer tout aussi lentement. Je recommence ce petit jeu plusieurs fois quand, au moment où elles sont bien écartées, un gamin d’une quinzaine d’années passe en courant. Il avait dû me voir de loin car il avait la tête tournée vers moi quand il passe à ma hauteur et trébuche sans tomber. Il s’est arrêté et prend appui sur un arbre. Ludo braque sa caméra sur lui. J’ai resserré mes genoux. Il me regarde et repart en petite foulée.

    Ludo vient s’assoir à côté de moi et nous regardons ce qu’il a filmé. Il me dit que je l’excite grave et que le gamin a dû en avoir plein la vue. Il retourne sur son banc, je monte debout sur le mien et joue avec ma jupe pour lui montrer tour à tour mon minou ou mon cul. Je m’accroupis et en prenant appui avec mes mains sur le dossier, je relève mes fesses et met ma chatte en avant. Un bruit bizarre attire mon attention, je tourne la tête et je vois le gamin et un pote à lui arriver en skateboard. Rapidement  je m’assoie mais sûrement trop tard sur le dossier. Ludo les filme.

    Ils descendent de leur planche une dizaine de mètres avant de passer lentement devant moi. Au fur et à mesure qu’ils se rapprochent mes genoux s’écartent et je leur souris. Ils s’arrêtent devant moi, sortent leurs portables et s’accroupissent. Ils prennent quelques photos et me demandent de reprendre la pose. Je m’exécute, attend quelques secondes pour me rassoir sur le dossier. Ils me demandent alors de leur montrer mes seins. J’attrape les échancrures de mon débardeur et les resserrent au milieu de ma poitrine. Ils font à nouveau quelques photos puis viennent s’assoir sur le banc chacun d’un côté, me sucent les seins et me caressent les cuisses. Je regarde Ludo qui filme toujours et qui a l’air ravi. Je leur demande d’arrêter quand leurs mains sont montées vers mon minou mais ils insistent. Je crie à Ludo de faire quelque chose car j’ai peur de tomber en arrière quand leurs index m’ont pénétrée. Ludo se lève et hurle ce qui a pour effet de les stopper net. Ils descendent du banc, reprennent leurs planches et s’en vont en me traitant de quelques mots que j’adore. Je demande à Ludo de rentrer car j’ai peur que d’autres personnes ne viennent.

    Je me souviens que sur la route du retour, Ludo, qui était très excité par l’après- midi que nous avions passée, m’a demandé de le branler pendant qu’il conduisait. Arrivés à la maison Ludo a  branché la caméra sur la télé et nous avons regardé ce qu’il avait filmé pendant que je le suçais. Après nous avons fait l’amour.

    Il est 19h00 et Ludo n’est pas rentré. Je m’inquiète un peu car il n’a pas appelé non plus. Le petit film et les souvenirs qu’il  m’a évoqué m’ont émoustillée. J’ai envie de me masturber. Je me caresse les seins de la main gauche et ma main droite plonge entre mes cuisses. Mes bouts de seins sont dressés et très réceptifs. Je serre mon clitoris entre mon majeur et mon index et commence un mouvement de bas en haut. Il se durcit et sort de mon vagin. Je mouille mes doigts et je le caresse légèrement. Je commence à jouir et ma main gauche délaisse mes seins pour rejoindre la droite. Mon index et mon majeur me pénètrent facilement. J’appuie plus fort sur mon clito tout en faisant des ronds de plus en plus rapides. Mes doigts bougent très vite aussi en moi et tout mon corps tremble et se tord de plaisir mais je ne peux pas m’arrêter. Je crie tellement je jouis et j’entends des chuchotements. J’ouvre les yeux, Ludo et Adrien sont à la porte du salon, je ne les ai pas entendu rentrer. Je suis surprise et je ne sais pas quoi dire. Je tremble et je dis « bonjour les garçons, vous voulez un apéritif ? ». Ils me répondent en chœur « volontiers ».

    Je me lève, me dirige vers eux et je roule une pelle à Ludo qui m’attrape les fesses dans ses mains. Il me retourne, me prend par les hanches, me serre contre son sexe et m’embrasse dans le cou. Je passe mes bras autour du sien et lui caresse les cheveux. Adrien vient me sucer les seins et  me titiller le clitoris. Je me tortille de plaisir car je ne suis pas encore redescendue de l’état de jouissance où j’étais. Avant de jouir à nouveau, je le repousse et me détache de Ludo. Je me dirige vers le bar, Ludo passe à la salle de bain et Adrien s’assoit dans le canapé.

    Je nous sers 3 whiskies et les ramène sur la table basse. Adrien m’attrape par les hanches et me fait tomber sur ses genoux. Il m’allonge, place ses jambes de part et d’autre de moi  et se met à genoux. Il me roule une pelle et sa bouche descend dans mon cou, sur mes seins, mon ventre. Ses mains passent sous mes fesses et il soulève mon bassin pour amener mon vagin à hauteur de ses lèvres. Sa langue s’agite très vite alternativement sur mon clito et en moi. Je ne peux pas m’empêcher de gémir et crier de plaisir. Je lui demande d’arrêter même si je veux qu’il continue.

    Ludo que je n’ai pas vu arriver me présente son sexe devant la bouche et dit à Adrien qu’il peut aller à la salle de bain. Je commence à le branler et lui dis de s’assoir. Sa queue est déjà raide et je le suce en faisant des ronds avec ma langue autour de son gland. Je l’enfonce au fond de ma gorge puis la ressort de ma bouche plusieurs fois et je le branle à nouveau. Je recommence encore et encore.

    Adrien revient et se place derrière moi. Je me redresse sur mes genoux et écarte bien mes cuisses. Il me pénètre lentement jusqu’à la garde et reste sans bouger. Les muscles de mon vagin se tendent et se détendent autour de sa queue qu’il ressort complètement pour me pénétrer lentement à nouveau. Il recommence plusieurs fois en douceur et me pénètre fort d’un coup. Il s’accroche à mes hanches et bouge très vite en moi. Je ne peux plus sucer Ludo car Adrien m’arrache des cris de plaisir.

    Ludo lui dit de me prendre le petit. Il se retire, salive sur son sexe et mon anus et le pénètre avec délicatesse. Son sexe est entré entièrement, je m’allonge sur Ludo qui me pénètre avec difficulté. Je sens leurs sexes en moi qui semblent chercher leur place. J’essaie de me positionner au mieux et je les sens qui commencent à bouger simultanément. C’est l’extase, je suis secouée et défoncée mais je prends un pied énorme. Adrien a joui mais reste en moi. Ludo m’astique de plus en plus fort. Adrien se retire et va à la salle de bain. Je dis à Ludo de s’assoir et je me mets à califourchon sur lui pour m’empaler sur sa queue. Je mets des coups de rein rapides et fort en m’accrochant à son cou. Je jette ma tête en arrière, je jouis encore.

    Ludo a joui en moi, je me lève et vais aux toilettes. J’ai la chatte et le cul en feu mais je ne regrette rien. Adrien est sorti de la salle de bain, je vais me doucher. Je me sèche et vais dans ma chambre m’allonger sur mon lit car j’ai besoin d’un peu de calme. Je ferme les yeux, j’entends Ludo passer sous la douche et m’endors.

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  • Mardi 15 janvier 2019

    Il est 18h00, j’ai appelé Coraline et je l’attends. Ce matin,  je me suis réveillée au- milieu de Ludo et Adrien. J’ai passé la main sur leurs sexes, Ils étaient en érection. Je me suis mise à genou  entre les 2 et je les ai branlés pour les réveiller. Avant qu’ils ne disent un mot, je leur ai demandé où ils étaient dimanche soir.

    Ludo m’a dit que lorsqu’ils sont revenus au bar, le patron leur a dit que les 2 petites salopes étaient parties en taxi. Ils sont revenus en passant devant chez Coraline et ont vu sa voiture. Ils sont allés chez elle pensant qu’on était toutes les 2. Ils ont picolé et se sont endormis dans le canapé. Je suis sûre que c’est faux, connaissant très bien mon amie mais je sais que je vais bientôt savoir la vérité.

    La sonnette retentit et je vais ouvrir. Coraline est super sexy comme d’habitude, elle tourne sur elle-même dans le hall d’entrée pour faire voler sa micro jupe écossaise. Le fils d’un voisin, Cyril 16 ans, qui rentre chez lui, reste scotché dans les escaliers. Coraline tourne à nouveau 3 fois sur elle-même, faisant voler sa jupe jusqu’à la taille, avant de rentrer. Je dis bonjour à Cyril qui me répond en bégayant.

    Elle s’assoit dans le fauteuil et je vais au bar nous servir un verre. Je lui demande si elle a vu Ludo dimanche soir. Aussitôt elle me raconte qu’Adrien et lui sont venus chez elle et lui ont fait l’amour toute la soirée et une partie de la nuit. Je pense qu’elle était en meilleure forme que moi. Elle me narre en détail leurs ébats, quand retentit à nouveau la sonnette.

    J’ouvre, ce sont Cyril et son petit frère, Elliot 14 ans. Ils me regardent de la tête aux pieds et je réalise que je ne porte qu’un peignoir léger, transparent. Cyril me dit que ses parents ne sont pas là, que leur télé ne fonctionne pas et qu’ils aimeraient voir leur émission préférée chez moi, si je veux bien. Je me doute que la petite représentation de Coraline est la vraie raison de leur présence. Je leur réponds que je ne regarde pas la télé mais qu’il n’y a pas de soucis et leur dis d’entrer.

    Coraline les voit rentrer et écarte ses cuisses leur exhibant son minou épilé. Ils restent coincés dans le pas de la porte du salon. Je les invites à aller s’assoir et ils se dirigent tous les 2 vers le fauteuil qui lui fait face. Je leur dis qu’ils seraient mieux dans le canapé mais Cyril me répond qu’ils sont très bien là. Coraline et moi éclatons de rire, je leur demande «  quelle chaîne ? », Elliot répond « la 2 ». J’allume la télé et vais dans le canapé.

    Je m’allonge, jambes repliées, les fesses découvertes tournées vers eux en prenant appui avec mon bras sur l’accoudoir et demandes à Coraline de continuer à me raconter sa folle nuit. Sans se faire prier elle reprend son récit.

    J’écoute Coraline qui rentre tellement dans les détails que j’ai les images dans la tête et ça m’excite. J’imagine dans l’état que doivent être les gamins et je me tourne légèrement en écartant mes cuisses. Je commence à me caresser le clito et je tourne la tête vers eux pour la première fois. Je constate qu’ils ne regardent pas du tout la télé.

    Cyril à son portable à la main et nous filme ou nous prend en photo tour à tour. Elliot a sorti son sexe et se branle. Je fais comme si je n’avais rien vu et me retourne vers Coraline qui se caresse aussi. Cette situation est incongrue et je décide d’y mettre fin. Je prends une position plus décente et leur dis qu’il est 20h00, leur émission est finie et leurs parents doivent les attendre.

    Elliot se lève et, son sexe à la main, va aux toilettes. Cyril met son portable dans la poche, me remercie de les avoir laissés regarder la télé chez moi car il n’aurait pas voulu rater cette spéciale. Il se lève, Coraline et moi éclatons de rire, son pantalon de jogging est hyper tendu. Il met la main sur son sexe, se dirige vers la porte et appelle son frère qui lui crie en haletant qu’il arrive. Je leur fais la bise, leur dis qu’ils reviennent quand ils veulent en espérant que non et referme la porte.

    Je reviens au salon et Coraline me dit qu’ils vont sûrement se branler souvent avec les photos et les vidéos. Je lui réponds que j’espère que les parents ne seront pas au courant et m’allonge dans le canapé. Coraline se lève se met au-dessus de moi,  m’offre sa chatte avant de m’écarter les cuisses, y plonge sa tête et nous nous léchons mutuellement.

    Nous jouissons comme des folles depuis une heure mais n’arrivons pas à nous arrêter. Ludo arrive, entre dans le salon et ressort aussitôt. Je l’entends se précipiter dans la salle de bain. Coraline relève la tête et me dit « on va prendre ». Sans arrêter, je dis oui avec la tête et elle replonge la sienne entre mes jambes.

    Ludo revient et se met derrière Coraline. Ma tête est entre ses genoux, il la pénètre et ses testicules viennent heurter mon nez. Il reste sans bouger en elle, je les lui lèche et il donne des coups de reins tout en restant profondément introduit.

    D’un coup, je pense, je ne sais pas pourquoi, qu’elle est moins épaisse mais bien plus longue que celle de Sylvain. Coraline a arrêté de me lécher et a pris appui sur ses bras. Je me dégage en me glissant et me retrouve au sol. Je me relève et les regarde  Je cours dans ma chambre chercher ma caméra.

    Je les filme. Ludo se mord les lèvres et la défonce très vite et très fort. Coraline me regarde avec les yeux écarquillés et hurle de plaisir. Ludo pousse un râle et reste profondément en elle. Il a joui et donne quelques petits coups de rein. Elle s’allonge épuisée, il se retire et s’assoit. J’arrête de filmer et vais au bar servir un verre.

    Nous dégustons notre verre assis dans le canapé, Ludo au milieu, nous lui racontons notre début de soirée avec les gamins. Son sexe se raidit et nous dit que nous sommes de belles salopes mais qu’il aime ça. Coraline va se rafraîchir à la salle de bain et je commence à le branler et sucer.

    Il m’attrape la jambe droite, la lève en l’air, se place entre mes jambes et me pénètre lentement. Il reste au fond de moi et nous nous embrassons. Coraline revient et prend la caméra. Je me force à la regarder pour qu’on voie bien mon visage quand je jouis.

    Ludo se retire et me dit de me mettre à 4 pattes par terre. Il me prend en levrette et dit à Coraline de se mettre à côté de moi dans la même position. Elle continue de filmer mon visage et il lui met un doigt. Il me fait jouir, je crie mon plaisir et il se retire. Il se met derrière Coraline et la prend à son tour en me mettant 2 doigts. Il nous prend alternativement 5 fois chacune en s’arrêtant quand on jouit. Il se retire rapidement de Coraline et nous éjacule sur le dos. Il s’assoit dans le canapé et nous allons sous la douche.

    Nous nous savonnons et je lui donne la version de Ludo pour dimanche soir. Je lui dis que je vais en parler mais qu’il faut qu’elle dise comme lui car comme ça il va croire que je ne sais pas et qu’elle ne me raconte pas à chaque fois qu’il la saute quand je ne suis pas là. Je lui précise qu’il ne s’est rendu compte de rien samedi dernier chez Sylvain tellement il ronflait. Pour dimanche après-midi ils sont partis pensant qu’on ne risquait rien avec les anciens.

    Nous revenons au salon et Ludo va se doucher. Je nous sers un verre et reviens m’assoir dans un fauteuil. Coraline est dans l’autre et nous mettons au point notre stratagème. Elle me dit qu’elle est d’accord mais qu’il faut que je l’invite samedi. J’hésite mais j’accepte. Ludo revient et s’allonge sur le dos dans le canapé.

    Je lui dis qu’il va s’endormir comme dimanche soir chez Coraline. Il se redresse et elle ajoute qu’elle avait été très déçue, surtout par Adrien car elle pensait qu’elle lui plaisait. Elle ne pensait pas finir sa nuit toute seule dans son lit quand elle les a vus arriver. Ludo secoue la tête comme pour approuver ce qu’elle dit écarte les bras en haussant les épaules et se recouche sans un mot. Je la regarde et nous nous faisons un clin d’œil.

    Nos verres sont vides, je demande à Coraline si elle veut rester dormir et elle accepte. Ludo se lève et par le premier dans la chambre. Nous le suivons bras dessus bras dessous en nous tapotant les fesses. Il s’est couché au milieu du lit et a mis les bras grands ouverts.

    Nous nous couchons à ses côtés, la tête au creux de ses bras et lui caressons son sexe qui raidit aussitôt. Il dit qu’il nous adore, je relève ma tête et il me dit « toi plus bien sûr ». Je n’en crois pas un mot mais je m’en fous et serres fort sa queue entre mes doigts. Ludo a les yeux fermés, Coraline a posé sa tête sur sa poitrine et a fermé ses yeux aussi. Je lui fais un bisou sous l’aisselle et je m’endors.

    Je suis réveillée par des gémissements, je tourne la tête vers Ludo qui est couché sur le côté et me tourne le dos. Je regarde l’heure, il est 23h00. Il est entrain de sauter Coraline qui visiblement prend son pied mais se retient de crier. Je me tourne et essaye de me rendormir.

    23h15, Ludo se recouche sur le dos et Coraline va à la salle de bain. Il passe sa tête au-dessus de moi sûrement pour voir si je dors. J’ai les yeux fermés et je simule le sommeil. Elle revient se coucher et je l’entends lui dire qu’ils n’auraient pas dû. Il lui dit de se taire et s’allonge sur elle. Je les entends s’embrasser et leurs souffles rapides.

    23h30, il se remet sur le dos et lui demande de le sucer. Vu le bruit, je suppose qu’elle s’est exécutée. Je me rendors finalement.

    Minuit, je suis à nouveau réveillée. Je tourne la tête et je vois Coraline à califourchon sur Ludo et elle se déchaîne sur sa queue. Je jette un œil vers lui, il la tient par les hanches et il a les yeux fermés. Je décide de me rendormir mais n’y arrive pas. Je ne veux pas qu’ils sachent que je suis réveillée. Coraline ne retient plus ses gémissements entrecoupés de moments où je suis moins secouée.

    00h30, il a joui et elle est repartie à la salle de bain. Ludo va aux toilettes. Je suis morte de fatigue et m’endors très vite avant qu’ils ne reviennent.

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  • Mercredi 16 Janvier 2019

    Je me réveille et je constate que je suis seule dans mon lit. Je regarde le réveil, il est 07h30, je ne l’ai pas entendu sonner ou alors j’ai oublié de l’enclencher hier soir. Je me lève et me dirige vers la cuisine. Arrivée dans le hall d’entrée, j’aperçois Ludo et Coraline dans le miroir. Il est assis sur une chaise, elle est assise à califourchon sur lui en lui tournant le dos, elle est appuyée sur la table avec ses avant-bras et ses mouvements du bassin ne trompent pas sur ce qu’ils sont en train de faire. Elle se redresse et il attrape ses seins. Je ne veux pas les interrompre et je vais à la salle de bain.

    Ma douche est prise et je vais dans ma chambre. Il est 08h00 et je vais être en retard. J’enfile un corsage blanc, la jupe de tailleur mi-cuisse et la veste. Je suis secrétaire de direction, mon patron a 45 ans, plutôt bel homme et il m’adore. Sa femme est la comptable, elle a 38 ans, belle femme mais austère et elle me déteste. Il arrive qu’il passe la main sous ma jupe lorsque je suis debout à côté de lui à son bureau. Il m’a doigtée mais jamais sautée.

    Je suis prête, je vais dans la cuisine me faire un expresso. Ludo sort de la salle de bain et est remplacé par Coraline. Je bois rapidement mon café et je pars en leur criant au revoir.

    Il est 18h00, je suis rentrée et je suis nue allongée les yeux fermés dans mon canapé. La journée a été longue car mon patron était en rendez-vous toute la journée. Il m’avait bien laissé des consignes mais ce fut vite fait. Bizarrement sa femme a été agréable avec moi. Je décide d’appeler Coraline pour qu’elle me raconte sa nuit avec Ludo mais je tombe sur sa messagerie et je raccroche. Elle verra bien que je l’ai appelée et si elle veut elle me rappellera.

    Je décide de me passer le film que nous avons fait le 22/08/2018 dans un supermarché pendant nos vacances. J’avais mis une minijupe blanche, ample et légère et un débardeur blanc très court qui m’arrivait à la naissance de mes seins.

    Nous arrivons sur le parking et le vent chaud souffle fort. Ludo reste dans la voiture le temps que j’aille chercher un caddy. Ma jupe vole et se retourne, un homme me suit à une dizaine de mètres. Il sort son portable et me filme. Je me débats avec ma jupe pour essayer de la maintenir mais bien sûr en vain. Je fais des tours sur moi-même lui montrant alternativement mon petit cul ou mon minou. Devant le caddy ma jupe est complètement relevée et je cesse de lutter avec. Il reste derrière moi jusqu’au moment où je rentre dans le magasin et en passant à côté de moi il me remercie et je lui souris.

    Ludo est tout excité quand il me rejoint et nous visionnons quelques moments qu’il a enregistrés sur un banc dans la galerie marchande. Un homme d’une soixantaine d’années s’est assis en face de nous et Ludo se lève en me disant qu’il va voir une vitrine. En fait il nous filme le vieux et moi en train de jouer avec mes jambes.

    Je pose mon pied sur le banc pour me frotter le tibia et l’ancien, qui n’est pas tout à fait en face de moi, laisse glisser sa main sur son dossier pour se pencher et mieux mater mon minou. Je garde la pose en croisant mes doigts devant ma jambe. J’aperçois une femme qui arrive derrière lui et je reprends une posture décente. Elle lui tapote la tête, lui parle d’un air fâché, il se lève et ils partent. Ludo revient s’assoir à côté de moi et nous visionnons à nouveau quelques extraits et ce que je n’avais pas vu c’est que le vieux avait du mal à mettre son sexe en place dans son pantalon.

    Un homme arrive au loin, je me lève et je dis à Ludo de le filmer. Je mets mon pied sur le banc et les fesses tournées vers lui je me penche pour remettre la boucle de ma sandale. Il s’arrête net et répond à son téléphone qui n’a jamais sonné. Je prends mon temps et je remets la boucle de mon autre sandale. Je me rassois, il range son portable dans sa poche et s’en va.

    Mon téléphone sonne et je décroche. C’est Coraline et nous parlons un peu de tout et de rien. Je lui demande si elle a bien dormi cette nuit, à ma grande surprise, elle me répond que oui et que c’est mon réveil que je n’arrêtais pas qui l’a réveillée et elle ajoute que c’est Ludo qui l’a éteint. Elle me ment et je me demande pourquoi mais je n’ai pas envie d’en discuter au téléphone.

    Je lui demande ce qu’elle fait ce soir, elle me répond qu’elle est crevée, qu’elle ne sort pas. Je lui dis qu’elle a bien dormi pourtant. Elle me dit qu’elle a eu une sale journée au boulot. Je n’insiste pas, lui dis a+ et je raccroche.

    Je me demande ce qu’elle a car à ma connaissance c’est la première fois qu’elle ne me dit pas la vérité en ce qui concerne Ludo. Elle sait très bien pourtant que ça ne m’ennuie pas et que je ne lui reprocherai jamais de coucher avec lui, que c’est même un jeu pour moi de le savoir et lui faire croire que je ne suis pas au courant.

    Je n’ai plus envie de regarder le petit film qui a d’ailleurs fini pendant que j’étais au téléphone. Je range la carte mémoire et j’ai un frisson. Je vais dans ma chambre mettre ma minijupe salopette en jean et un sweat court. Je reviens vers le salon et la sonnette retentit.

    J’ouvre et je vois Cyril et Elliot. Je leur dis que je sais leur télé est toujours en panne mais j’ajoute que je veux qu’ils partent à 20h00 au plus tard. Cyril me dit que c’est son père qui les envoie m’inviter à aller prendre l’apéritif et il ajoute qu’il me trouve très mignonne et sympa. J’hésite mais accepte. J’espère qu’ils n’ont rien dit ou même montrer les vidéos.

    Je prends mes clés et verrouille ma porte. Je commence à monter l’escalier et les petits malins refont leurs lacets pas défaits. Cyril a pris son portable et filme sous ma jupe. Je suis presque arrivée à l’étage supérieur et je laisse tomber mes clés sur le palier. Je monte la dernière marche, me tourne vers eux et m’accroupis en écartant les cuisses. Je leur souris et me redresse.

    Nous entrons dans l’appartement identique au mien. Le père est dans le salon et met des gâteaux secs dans une coupelle sur la table basse. Cyril me présente et le père commence :

    « Bonsoir Ludivine, moi c’est Claude. On s’est croisé quelques fois mais on ne s’est pas vraiment parlé. Alors c'est vous qui avez sauvé mes fils du drame audiovisuel. Ils ne tarissent pas d’éloges à votre égard. C’est vraiment sympathique de leur avoir permis de regarder leur émission préférée chez vous. Je suis heureux qu’ils n’aient pas choisi une voisine moins séduisante et sexy que vous. Pardon je m’égare et manque à mes devoirs. Asseyez-vous ».  

    Il me montre un fauteuil. Les gamins sont assis dans le canapé et regarde la vidéo dans leur portable. Je dois passer devant eux en pas chassés et en me penchant légèrement en avant car il n’y a pas beaucoup de place pendant qu’il va vers le bar. Deux mains caressent mes fesses et je les chasse rapidement d’un mouvement de bras. Ils ricanent et leur père leur demande pourquoi mais ils ne répondent pas. Il me demande ce que je veux boire et je dis « un whisky ».

    Il ramène les verres qu’il pose sur la table et s’assoit par terre, en tailleur, en face de moi car il n’y a qu’un fauteuil que j’occupe. Je lui demande où est sa femme. Il me dit qu’elle fait des ménages et rentre vers 22h00. Pour attraper mon verre je suis obligée de me mettre au bord du fauteuil et écarter mes cuisses. Je tourne la tête vers les garçons car je n’ose pas le regarder en même temps que je lui exhibe mon minou. Eux le regardent car ils savent ce qu’il va voir.

    Je jette un coup d’œil en coin et le vois se pencher en avant pour prendre son verre, les yeux rivés sur mon minou et il passe sa langue sur ses lèvres. Je me recule au fond de mon fauteuil en gardant mes cuisses écartées juste ce qu’il faut et il se redresse. Nous trinquons.

    Je dois recommencer plusieurs fois ce même mouvement, soit pour poser mon verre sur la table, soit pour prendre des biscuits et à chaque fois il se penche en avant. Notre verre est fini et sans me demander il le prend et va me resservir. Visiblement il veut faire durer son plaisir. Les gamins chuchotent entre eux, mais vu les gestes qu’ils font, ils ont l’air de dire que Claude bande et je suis de leur avis car il a mis la main dans son pantalon en retournant vers le bar.

    Il revient et je me suis avancée au bord du fauteuil pour prendre un biscuit mais cette fois ci je ne me remets pas au fond. Il se rassoit en face de moi. Nous trinquons à nouveau et nous discutons de nos métiers et loisirs. Cyril vient s’assoir à côté de lui, il le prend par le cou et dit à Elliot de venir s’assoir de l’autre côté.

    Je suis surprise mais je ne change pas ma posture, au contraire, je m’avance un peu plus au bord du fauteuil en écartant plus mes cuisses. Cyril filme et Claude est ravi. Il m’avoue que Cyril lui a montré la vidéo et les photos qu’il a prises hier et qu’il espérait que mon amie serait là aussi. Il ajoute que nous sommes 2  belles petites salopes et qu’il veut que je fasse l’éducation sexuelle de ses fils. Je lui demande s’il est sérieux et il me répond que c’est ça ou il porte plainte. Il pousse la table le long du canapé, se met à genoux, m’attrape par les hanches pour me rapprocher au bord du fauteuil, met mes jambes sur ses épaules et commence à me lécher la chatte. Je me place de façon à lui facilité la tâche. Sa bouche et sa langue sont expertes et très vite le plaisir monte en moi. Mon clito est ressorti et mes seins pointent sous les caresses de ses mains qu’il a passé sous mon débardeur. Cyril filme et Elliot se branle. Claude se redresse et enfonce 2 doigts puis 3 dans ma chatte trempée. Claude appelle Cyril et lui dit d’aspirer mon clito avec sa bouche. Puis il appelle Eliott et lui dit de mettre sa queue dans ma bouche. Je suis en plein délire mais je la prends dans ma main,  le branle un peu et commence à le sucer. Claude me défonce la chatte, il a rentré tous ses doigts dans ma chatte et il dit à Cyril de mettre des petits coups de langue sur mon clito. C’est l’extase, je prends un pied d’enfer  et je me tortille dans tous les sens tellement c’est bon. Elliot gicle dans ma bouche et j’avale facilement son sperme juvénile. Claude se met debout, baisse son pantalon et son caleçon et me dit de me mettre à 4 pattes pour me prendre en levrette, Cyril se lève et me présente son sexe pour que je le suce. Claude me tient par les hanches et me lime à grands coups de boutoir. Je prends pied sur pied sans jamais redescendre quand d’un coup il se retire et éjacule sur mon dos et ma jupe en m’insultant. Cyril vient se mettre derrière moi et Claude salive sur mon anus. Il lui dit de m’enculer, il présente son gland au bord de mon petit trou et m’empale d’un grand coup sec, ce qui arrache à lui et à moi un cri de douleur. Très vite il s’agite dans mon cul sous les encouragements de son père et prend rapidement son pied. Il se retire, je m’allonge sur le sol mais Claude me hurle de me relever et de me barrer. Il s’avance et me roule une pelle en malaxant mes seins et dit à ses fils de faire pareil. Cyril me raccompagne à la porte et me dit « à demain ». Je le regarde, souris et lui dit « peut-être ».

    Je suis sous ma douche, il est 21h00 et Ludo n’est pas là. Je pense et repense au deal que Claude m’a proposé. Si j’accepte, ça ne me déplairait pas mais jusqu’où ça va me mener, si je refuse, Coraline et moi, on est mal barrées. Faut-il que je lui en parle ? Et Ludo ? Beaucoup de questions tournent dans ma tête en me séchant. Je mets ma nuisette et vais manger seule dans ma cuisine.

    Je vais m’allonger dans mon canapé, je ferme mes yeux et m’endors. Je suis réveillée par un baiser et une main qui me caresse l’intérieur de la cuisse. C’est Ludo accompagné de Coraline. Ils ont l’air ivre. Je regarde l’heure, il est minuit. Je demande à Coraline ce qu’elle fait là vu qu’elle ne devait pas sortir. Elle me répond qu’elle m’a appelé vers 20h00 mais je n’ai pas répondu alors elle est sortie toute seule au bar et que Ludo y était aussi. Ludo rajoute que des mecs qui pelotaient Coraline sous la table et sous son pull leur ont payé des verres toute la soirée. Ils l’ont sauté dans les toilettes et sont partis. Comme elle était incapable de conduire, il la ramenée à la maison.  « Tu veux la sauter aussi, alors allez-vous coucher, moi je dors Là » et je souris.

    Elle l’attrape par le bras, m’envoie un baiser et l’emmène dans la salle de bain. Je me tourne sur le côté, laisse échappé un petit « aïe » car j’ai mal à mon cul et me rendors.

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  • Jeudi 17 janvier 2019

    Je suis réveillée par une envie d’uriner, je regarde l’heure il est 05h00. Je vais vers les toilettes, je suis attirée par du bruit dans la chambre et j’entrouvre la porte. Ludo est à genou, les jambes de Coraline sur ses épaules et il la prend avec force en la tenant par les hanches. Je referme la porte sans bruit et entre dans les toilettes.

    Je pense que ces derniers jours il lui a fait plus souvent l’amour qu’à moi et dans mon lit en plus. Je sors des toilettes, je suis bien réveillée et je ne peux m’empêcher de les mater. Il est allongée sur elle, ils se roulent des pelles et leurs bassins s’éloignent et se rapprochent lentement. J’ai envie de me masturber et mon doigt vient appuyer sur mon clitoris qui sort déjà de mon vagin. Je suce mes doigts pour les mouiller, le coince entre mon index et mon majeur et commence un mouvement de haut en bas. Le plaisir envahit très vite tout mon corps, mes jambes tremblent mais comme je ne veux pas qu’ils me voient je vais dans le salon sur mon canapé. Je reprends ma masturbation et passe ma 2ème main entre mes cuisses. J’introduis mon majeur et fais des ronds sur mon clito en appuyant de plus en fort et en tournant de plus en plus vite. Mon bassin se soulève et je jouis mais je ne m’arrête pas car j’en veux encore. Mon corps se tord dans tous les sens et mes cuisses s’ouvrent et se referment sur ma main, c’est l’extase. Je m’arrête en poussant un gros « ouiiiiii ! » étouffé dans le dossier du canapé.

    Je regarde l’heure, il est 06h00, je me lève et vais dans la cuisine me préparer un expresso. Le temps que l’eau chauffe je fonce à pas de loups à la porte de la chambre. Il est en train de la prendre en levrette et elle pousse des cris la tête dans l’oreiller. Je retourne dans la cuisine en pensant qu’elle a bien prit cette nuit. J’avale mon expresso et vais à la salle de bain. Un petit coup d’œil d’abord à la porte de la chambre pour constater qu’il la travaille toujours en levrette.

    Je ressors de la salle de bain et vais dans la chambre. Ils sont couchés chacun de leur côté et se tournent le dos. Ludo s’étire et baille comme si je le réveillai. Fourbe, je lui demande s’il a bien dormi. Il me dit qu’ils étaient tellement bourrés qu’ils se sont endormis aussitôt, du moins lui et qu’il ne s’est pas réveillé de la nuit. Je lui dis que c’est dommage pour Coraline car elle attendait peut-être autre chose. Sans répondre, il se lève et va à la salle de bin en me faisant un bisou en passant.

    Je regarde Coraline qui n’a pas bougé et je lui dis qu’elle a du sperme qui coule sur sa cuisse mais elle reste sans réaction. J’enfile mon tailleur et corsage bleu ciel et retourne à la cuisine me préparer un autre expresso. Je le bois et pars au boulot.

    17h30, je rentre du boulot, Coraline m’attend assise sur les marches et me dit qu’il faut qu’elle me parle. Je lui fais la bise et nous rentrons chez moi. Elle s’assoit dans le fauteuil, je me mets sur l’accoudoir à côté d’elle et elle commence : «  je deviens de plus en plus nymphomane et exhibe ma chérie. Je ne pense qu’à ça. Mes tenues sont de plus en plus provocantes et dès qu’un mec me passe une main au cul, je fonds, j’ai envie de baiser. Cette nuit, Ludo m’a baisée 7 fois et à chaque fois c’était moi qui en redemandais. L’autre nuit, pareil, il doit avoir les couilles vides ». Je lui dis que je m’en fous qu’elle peut baiser autant qu’elle veut avec lui mais qu’il y a un autre problème, je lui explique le deal de Claude et comment ça s’est passé. Elle me dit qu’elle est volontaire pour les éduquer et qu’elle viendra tous les soirs.

    Je lui sers un verre et vais prendre ma douche. Je me sèche et enfile mon t-shirt échancré sous les aisselles. Je sors de la salle de bain et Coraline prend ma place. Je retourne au salon et me sers un verre. Coraline m’appelle et me demande de lui prêter ma micro jupe et mon débardeur très court. La sonnette retentit, elle court s’assoir dans le salon et j’ouvre la porte.

    Cyril et Elliot rentrent dans le salon et Coraline leur dit de se déshabiller. Ils sont nus, elle leur dit de venir l’exciter, ils s’approchent d’elle et lui caresse les seins. Elle me dit de leur montrer comment on fait. Je m’agenouille devant elle et lui titille les mamelons avec ma langue, je lui suce en massant ses seins en même temps. Elle me dit de me relever et à Elliot de prendre ma place.

    Il lui suce les seins et j’observe son sexe se raidir et se redresser contre son ventre. Elle l’arrête et fait signe à Cyril de s’y mettre. Elliot se relève, le sexe droit comme un i et je me dis qu’il est bien monté pour son âge. Je m’assoie dans l’autre fauteuil et l’appelle pour qu’il me lèche la chatte. Coraline fait pareil avec Cyril.

    Je fais ressortir mon clito et lui dis qu’il faut qu’il le lèche lentement d’abord. Coraline me demande s’il se débrouille bien. Je lui réponds que c’est un bon début. Elle envoie Cyril voir comment fait son petit frère et comme je suis excitée, je lui attrape la queue et le suce. Coraline le rappelle.

    Je lui dis, en parlant fort pour que Cyril entende, qu’il fasse comme une ventouse avec sa bouche et qu’il continue de lécher et après qu’il mette sa langue dans ma chatte et remonte jusqu’à mon clito. Cette instruction finalement m’amuse et m’excite. Je regarde Coraline qui visiblement aime ça aussi. L’excitation monte et mes reins se cambrent chaque fois que sa langue revient sur mon clito. Je sens que je suis trempée et je lui dis d’arrêter avant de jouir.

    Coraline, elle, maintient la tête de Cyril et est en train de jouir. Je me mets à 4 pattes et dis à Elliot de me prendre comme il a vu son père et son frère le faire hier. Il me dit qu’il ne l’a jamais fait. Je lui réponds qu’il n’a rien à craindre, qu’il ne va pas avoir mal bien au contraire. Coraline et Cyril ont pris la même position.

    Il s’agite très vite, je lui dis de ralentir mais il me répond qu’il ne peut pas et jouit en moi. Cyril a compris la technique, il fait de longs et lents va et vient et je dis à Eliott de regarder. Cyril accélère progressivement le mouvement et Coraline semble prendre son pied. Il s’arrête, ouvre grand la bouche comme pour crier puis se retire.

    Je leur dis d’aller se laver et se rhabiller. Cyril a laissé son portable sur la table, je dis à Coraline de le prendre et d’effacer les photos et vidéos de nous pendant que je vais me doucher avec eux. Je les rejoins, enlève mon t-shirt et leur dis de venir avec moi sous la douche pour me savonner. Ils ne se font pas prier.

    Ils me savonnent en insistant surtout sur mon minou, mes fesses et mes seins, ce qui m’émoustille. Leurs queues sont plaquées sur leurs ventres, je m’agenouille pour les branler et sucer. Elliot jouit le premier dans ma bouche et je continue de sucer Cyril en lui massant les couilles. Elliot me caresse les seins et rebande déjà quand Cyril jouit à son tour dans ma bouche. J’arrête la douche et leur donne des serviettes. Je remets mon t-shirt et rejoins Coraline dans le salon.

    Elle me dit que c’est fait et a reposé le téléphone sur la table. Je vais vers le bar et nous sers un verre pour fêter ça. Les jeunes reviennent au salon et je demande à Cyril si son père a fait une sauvegarde des photos et vidéos. Il me dit qu’il voulait mais qu’il lui a dit non, que c’était à lui et que s’il en voulait qu’il les fasse lui-même. Je lui dis qu’il avait bien répondu. Coraline et moi pouffons de rire et je lui demande de les raccompagner à la porte. Elle leur fait un petit bisou sur la bouche et ils en profitent pour lui caresser les fesses.

    Coraline file sous la douche et je me pose dans le canapé. Je déguste mon whisky en me caressant. Coraline revient et me dit qu’elle garde mes fringues pour aller boire un verre en ville ce soir et qu’elle me les rendra plus tard. Elle enfile son long manteau me fais la bise et s’en va avant que je ne dise quoi que ce soit.

    La sonnette retentit, je regarde par le judas et je vois 3 potes du club de foot ball de Ludo, Éric, Laurent et Philippe. Je regarde ma tenue dans le miroir, me trouve provocante à souhait et ouvre. Leurs regards et leur mutisme prouve l’effet que je provoque en eux. Je leur dis que j’attendais mon amie Coraline pour me justifier.

    Philippe dit qu’il n’y a pas de problème, Laurent acquiesce de la tête et Éric ajoute que c’est Ludo qui leur a dit de passer prendre un verre ce soir. Je leur dis qu’il ne devrait plus tarder et les fais rentrer au salon. Ils s’assoient tous les 3 dans le canapé et je vais au bar. Je nous sers 4 verres de Whisky.

    Je ramène les 2 premiers, je suis de côté par rapport à eux, je me penche pour les poser sur la table, l’échancrure de mon T-shirt laisse voir mes seins et il remonte à mi- fesses. Je ne sais pas ce qu’ils ont vu ou regardé mais ils n’ont pas dit un mot. Je retourne au bar chercher les autres verres et je les entends chuchoter.

    Je prends la même posture pour poser le verre de Philippe sur la table, m’assoie sur l’accoudoir du fauteuil à leur droite, jambes légèrement écartées et je prends appui avec mes coudes sur mes cuisses en tenant mon verre à 2 mains devant moi.

    Je lève mon verre pour trinquer en disant « à Ludo », Philippe, le plus éloigné de moi, marmonne « le chanceux » et ajoute en tendant son verre vers moi mais sans lever ses fesses « il faut cogner les verres ». Je me lève, me penche en avant en prenant appui sur la table avec ma main gauche et trinque avec lui.

    Mon T-shirt laisse mes fesses découvertes et baille vers le bas. Je garde la même posture et  trinque avec Éric qui ne quitte pas mes seins des yeux. Je tourne la tête vers Laurent, il est penché sur l’accoudoir droit du canapé pour mater mon cul et peut-être mon petit abricot. Je me rassois, il se redresse et nos verres s’entrechoquent.

    Philippe lui demande pourquoi il s’est penché quand j’ai trinqué avec lui et il répond que c’était pour ne pas gêner. Je me suis redressée, jambes croisées, pouffe en mettant ma main devant ma bouche et leur souris avant de boire une gorgée.

     Ils essaient de parler de sport entre eux mais leur attention est attirée par mon jeu de jambes permanent. Je ne comprends rien à leur conversation mais ça ne me préoccupe pas. On sonne à la porte, je sursaute et vais voir au judas.

    C’est Claude, je retourne au salon et dis aux gars que c’est un voisin qui me harcèle et que je ne veux plus le voir. Claude sonne et tambourine à la porte, Ils se lèvent, me disent qu’ils s’en occupent et se dirigent vers la porte, Éric le plus petit, malgré qu’il mesure 1m85, devant et les 2 autres derrière.

    Ils ouvrent la porte et Éric lui demande s’il n’est pas un peu taré. Je n’entends pas ce que dit Claude. Éric ajoute qu’il n’a pas intérêt de m’emmerder sinon il aura à faire avec eux et ils font tous les 3 un pas en avant en se redressant, le menton relevé. Claude s’en va, Éric ferme la porte et ils reviennent s’assoir. Philippe dit que s’il m’importune encore, il faut que Ludo leur en parle et ils lui passeront l’envie de recommencer.

    Je me lève, passe entre leurs jambes et la table basse et, tour à tour, leur fait un bisou sur la bouche en prenant leur visage entre mes mains. Je fais le voyage inverse en petits pas chassés en leur tournant le dos. Seul Laurent, le dernier devant qui je suis passée, a osé me mettre une main aux fesses. Je m’arrête devant et tends mon cul vers lui. Il met alors ses 2 mains sur mes fesses et les pétri. Les 2 autres disent qu’ils le méritent aussi et je leur réponds « peut-être plus tard, il fallait oser avant ».

     Ils sont dégoûtés et Éric dit « OK, en attendant, on a soif ». Il se lève en prenant son verre et celui de Philippe. J’imagine son intention, prends le verre de Laurent et le mien et le précède au bar. Nous posons les verres, je prends la bouteille, il se place derrière, passe une main dans l’échancrure de mon T-shirt et l’autre dessous pour me caresser le minou. Je mets ma tête en arrière, lui caresse la nuque et il m’embrasse dans le cou. Je colle et tortille mon cul contre son sexe raide qui s’est placé entre mes fesses.

    Le verrou de la porte d’entrée tourne et interrompt nos caresses. Je tourne la tête et vois Ludo dans l’entrée du salon qui nous regarde. Éric est toujours derrière moi, il a enlevé la main qui caressait mon clito mais l’autre est toujours dans l’échancrure de mon T-shirt. Ludo dit qu’il va prendre un verre aussi et serre la main aux autres.

    Ludo discute avec Laurent et Philippe, je sers les verres, Éric a mis ses 2 mains dans les échancrures et pétri mes seins. Je lui dis d’arrêter et d’emmener les verres. Il prend 2 verres, retourne au salon, donne un verre à Ludo et lui serre la main. Je ramène les verres de Laurent et Philippe et leur dis que je les laisse entre hommes et vais dans ma chambre m’allonger en travers du lit à plat ventre.

    Je suis assoupie et je sens une main sur mon mollet. Sans ouvrir les yeux, j’écarte mes jambes. La main remonte lentement entre mes cuisses jusqu’à mon minou. Je soulève mon bassin, les doigts passent entre les lèvres et me caressent le clito pendant que le pouce passe dans la raie de mes fesses et pénètre un peu mon anus.

    J’entends la voix de Philippe crier « Alors, Laurent, t’es tombé dans le trou ? Dépêche-toi il faut que j’y aille ». La main se retire et je sens un bisou et un petit coup de langue sur ma fesse. La chasse d’eau est actionnée et la porte des toilettes claque. Il y a des chuchotements dans le couloir.

    2 mains saisissent mes hanches et les tirent en arrière avant de les soulever. Je suis sur mes genoux, la tête sur le lit et j’écarte mes jambes. Une langue vient me lécher et je pousse un soupir de plaisir. Je commence à jouir, la langue s’arrête mais je garde ma position. A nouveau des chuchotements dans le couloir.

    Des doigts écartent les lèvres de mon vagin et je sens un gland qui cherche son chemin. Je présente mon minou du mieux possible et guide la queue avec ma main. Elle me pénètre, 2 mains saisissent mes hanches et très vite je prends mon pied sous les coups de boutoir de celui que je suppose être Éric. Il jouit en moi, se retire, me met une claque sur la fesse et murmure  « salope ».

    Je suis allongée et je sens du sperme sortir de mon vagin. Je me lève et court sous la douche. Je me sèche et entends que les gars s’en vont. Ludo entre pour prendre sa douche et me dit que ça avait l’air d’être chaud tout à l’heure avec Éric. Je lui réponds «  j’ai été surprise en leur ouvrant la porte dans cette tenue. Je les ai un peu allumés et Éric m’a caressé un sein. Je lui disais d’arrêter quand tu es arrivé ».

    Il entre dans la douche et me dit qu’ils sont allés aux toilettes chacun leur tour, quand j’étais dans la chambre, sûrement pour aller se branler et il se marre. Je ris avec lui, dis que je n’ai rien entendu et sors de la salle de bain pour aller au salon m’étendre sur le canapé.

    Ludo m’a demandé ce qu’on pouvait faire ce soir et je lui ai répondu « rien ». Nous avons dîner, nous sommes couchés et je me suis vite endormie.

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  • Samedi 19 Janvier 2019

    Il est 19h30, je suis nue devant ma glace dans ma chambre. Ludo est dans le salon. Il a déjà bu plus d’une demi-bouteille de whisky. J’ouvre mon armoire et enfile un chemisier blanc transparent. Je me regarde dans mon miroir. Il ne cache rien de mon anatomie. C’est parfait. Je mets ma minijupe  noire plissée qui m’arrive au ras des fesses. Je me dis que ça suffit vu que l’on ne sort pas ce soir. Nos invités vont bientôt arriver et je m’impatiente à la pensée de la superbe soirée que je vais passer. Coraline m’a appelée pour me dire qu’elle viendrait plus tard car elle doit aller chez ses parents pour un problème de famille. J’en suis ravie.

    Je rejoins Ludo dans le salon. Il s’est endormi. Il est un peu fâché car il ne voulait pas les inviter, mais comme j’ai beaucoup insisté en disant à Ludo, que c’était une bonne façon de se faire  pardonner vis-à-vis de Sylvain, qu’il accepté.

    On sonne à la porte. Ludo a à peine ouvert un œil. Je courre ouvrir la porte. C’est Sylvain avec un énorme bouquet de fleurs. J’ouvre grand les bras et prends la pose. Il me regarde de la tête aux pieds avec un œil et un sourire malicieux. Je lui prends le bouquet de fleurs, lui roule une pelle et lui dis de rentrer en ajoutant que Ludo est au salon.

    Je place les fleurs dans un vase et les ramène au salon. Ludo est avachi dans son fauteuil. Il n’a toujours pas remarqué ma tenue. Sylvain est assis dans le canapé. Je pose le vase sur la table et les mains sur les hanches lui dis « tu as vu ? ». Il me répond que c’est super sans plus de commentaire. Je passe devant lui pour m’assoir à côté de Sylvain et enfin il me dit que je suis super sexy ce soir. Sylvain acquiesce.

    La sonnette retentit de nouveau. Je me lève pour aller ouvrir en passant cette fois ci devant Sylvain.  Feignant de perdre l’équilibre je me penche en avant pour me retenir à la table. Mon cul et mon petit abricot sont justes devant ses yeux. D’un geste rapide  il passe ses mains sous ma jupe m’attrape par les hanches et m’assoie sur sa queue déjà raide. Ludo qui n’a rien vu me demande si ça va. Je lui réponds que tout va bien et Sylvain m’aide à me relever.  Ses mains sont toujours sur mes hanches nues et je prends appui sur son entrejambe et lui serre fort le sexe.

    Ce sont Alain et son ado de fils Cédric. Un waouh d’admiration sort en même temps de leur bouche lorsqu’ils me voient. J’écarte les bras, les enlace tous les 2 en même temps. Leurs mains passent aussitôt sous ma jupe. « Tel père, tel fils » leur dis- je en souriant avant de les inviter à passer au salon. Alain passe devant et Cédric marche à côté de moi sa main pétrissant mes fesses sous ma jupe. Il la retire quand nous arrivons à hauteur du fauteuil de Ludo.

    Sylvain, Alain et Cédric sont dans le canapé. Je nous sers l’apéritif en mettant une triple dose à Ludo puis je m’assoie sur un tabouret de bar en face des 3. Mes jambes sont écartées et mes pieds reposent sur le petit cercle du tabouret. Ludo siffle son verre en quelques minutes et je lui fais la remarque qu’il devrait ralentir. Sylvain, sans un mot, se lève et prend le verre de Ludo pour aller le resservir. Il a un pantalon en tergal noir et, vu sa déformation, il est clair qu’il ne porte rien dessous. Je l’accompagne au bar en prétextant que je vais surveiller la dose qu’il lui sert. Arrivés au bar, il prend la bouteille et  j’attrape sa queue en le traitant de vieux cochon et de salaud vis à vis de Ludo puis j’ouvre sa braguette, sort son braquemart et lui demande de retourner comme ça redonner son verre à Ludo. Il me dit qu’Alain et Cédric non pas de caleçons non plus et retourne au salon. Il donne son triple whisky à Ludo qui ne remarque rien et dit aux 2 autres « en tenue de combat les gars ». Ludo boit une grosse gorgée et somnole pendant qu’Alain et Cédric se lèvent pour sortir leurs épées du fourreau. Le spectacle est splendide et m’excite. Ils se caressent lentement tous les 3 leurs pilons quand tout à coup, Ludo se lève avec la main devant la bouche et courre aux toilettes. Je vais le voir et lui demande si ça va. Il me répond qu’il va s’allonger un peu. Je l’accompagne dans la chambre. Il s’écroule sur le lit et s’endort.

    Je retourne au salon et je leur dis que Ludo s’est couché. Je mets un peu de musique « couleur menthe à l’eau » de Monsieur Eddy. Je commence à danser, les yeux fermés en passant les mains sur mon corps. Très vite je sens 6 mains sur tout mon corps. Sylvain me dit de ne pas ouvrir les yeux. Une tête passe sous ma jupe et une langue commence à fourrer mon minou. Je reste sans bouger jambes bien écartées et je tiens cette tête fortement serrée contre moi. Les mains de la tête me pétrissent les fesses. Les 4 autres mains  s’occupent du reste de mon corps. 2 sexes commencent à se frotter sur mes cuisses.  Je lâche la tête et je commence à  les branler. Dans ma main droite je reconnais Cédric car elle est dressée droite comme un i, dans ma main gauche c’est la grosse queue de Sylvain, c’est donc Alain le virtuose de la langue. Il me demande de me mettre en levrette. Il me pénètre facilement et profondément tellement je suis trempée. Après quelques rapides va et vient il jouit en moi.

    Sylvain s’allonge et me demande de m’empaler sur lui. Je passe mes jambes de part et d’autre de lui, m’accroupis et guide sa queue  avec ma main droite en direction de mon nid d’amour tout en tenant Cédric par la queue. Sa bite rentre jusqu’à la garde en moi sans difficulté et je commence à sucer Cédric. Sylvain ne bouge pas, je fais des petits mouvements d’avant en arrière avec mon bassin tout en m’occupant de la queue de Cédric avec mes 2 mains, ma bouche et ma langue. Il dit à Cédric « Prend lui son petit ce sera ta 2ème première fois en 1 semaine ». Je m’allonge sur Sylvain et Cédric me lèche l’anus. Il présente son  gland au bord et doucement me pénètre jusqu’à la garde. Ils sont tous les 2 à fond  en moi sans bouger. Cédric commence un lent va et vient. C’est bon de sentir ces 2 queues qui se touchent en moi. Alain admire le spectacle et encourage son fils qui accélère le mouvement. Sylvain dit qu’il est coincé, qu’il ne peut pas bouger mais qu’il va bientôt jouir car il sent très bien la queue de Cédric dans mon cul. Je sens la chaleur du sperme de Cédric jaillir dans mon cul et très vite Il se retire, la queue toujours aussi raide. Il veut venir avec Sylvain prendre mon minou. Nous nous mettons sur le côté, je place mes jambes autour de la taille de Sylvain et cambre mes reins. Cédric est tellement raide et déterminé, qu’en forçant un peu, il réussit à rejoindre Sylvain dans ma chatte. Les 2 queues bougent en alternance dans ma chatte, je suis au bord de l’extase, je crie, je hurle mon plaisir. Tous mes membres tremblent. Sylvain jouit en moi et se retire, je me remets en levrette à la demande de Cédric. Il alterne les cadences. Je jouis chaque fois qu’il me prend fort et vite sous les applaudissements d’Alain et Sylvain. Il me fait jouir pour au moins la 20ème fois lorsqu’il prend son pied et se retire. Je m’allonge haletante  à plat ventre sur le sol. Les 6 mains me caressent tendrement tout le corps. Je ferme les yeux pour mieux apprécier le moment.

    Il est minuit, je leur dis que je vais prendre une douche. Cédric me rejoint. Il bande. Je pense « il est insaciable ». Je lui dis « je te savonne mais rien de plus pour ce soir ». Il fait la moue mais acquiesce car je le branle en le savonnant. Il me roule des pelles, me suce les seins et ses mains se baladent sur tout mon corps. Je sens le désir remonter en moi, je me retourne, prend appui sur le mur de la douche, je cambre mes reins et lui dis « prend moi ». Sans hésiter, il enfonce son dard jusqu’à la garde et commence un mouvement lent. Je lui demande de me faire jouir vite et fort. Il me défonce la chatte à grands coups de reins qui m’arrachent des cris de jouissance. Sylvain et Alain, attirés par mes cris, apparaissent dans la salle de bain et disent à Cédric de se dépêcher. Il est agrippé à mes seins qu’il serre très fort quand je sens qu’il décharge en moi. Les autres lui demandent de sortir et il se sèche.

    Il est 00h45, je reviens dans le salon en nuisette qui ne cache rien du tout. Ils sont prêts à partir. Ludo apparaît à la porte. « Vous  partez déjà ? Ludivine se faisait un plaisir de vous recevoir ». Sylvain lui répond « Comme tu n’avais pas l’air bien on ne va pas vous ennuyer plus longtemps ». Sans répondre Ludo va aux toilettes. Je roule des grosses pelles à mes amants qui en profitent pour me peloter et avant que je ferme la porte Alain me dit « Je vois avec Ludo pour vous inviter samedi prochain ». Je lui réponds « Je lui dis que tu m’en as parlé et que je suis d’accord. J’ai hâte ». « Salope » dit Cédric. Alain et Sylvain lui mettent une claque derrière la tête. Je lui roule une pelle et lui fait un clin d’œil. Coraline arrive sur le palier et sa tenue est super provocante. Une micro jupe et un corsage blanc transparent. Par-dessus elle porte un long manteau grand ouvert. Je lui présente les 3 gars et lui dis qu’ils s’en vont. Elle leur roule une pelle, fait demi-tour, les croche et me dit au revoir. Les gars sont ravis et me disent à samedi.

    Ludo sort des toilettes « Ils sont partis les blaireaux ? Moi si je vois une femme qui me reçoit habillée comme toi, jamais je me casse. Ils sont pédés ou quoi ? Ils ont rien tenté ? ». Je réponds « Non. Le petit Cédric bandait c’est sûr car on a dansé un slow et je l’ai bien senti mais il doit être timide. Alain nous a invité samedi prochain pour qu’on passe enfin une soirée ensemble. J’ai dit oui. On va se coucher ? ».

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  • Dimanche 20 janvier 2019

    Je dors, mon téléphone fixe sonne dans le salon, je regarde l’heure, il est 8h00, j’entends Ludo qui ronfle, je me lève et vais au salon décrocher. Je reconnais la voix de Coraline qui me parle en hachant ses mots. Je comprends qu’ils n’ont pas dormis, que je suis réclamée chez Alain mais que je ne dise rien à Ludo. Je lui répète ce que j’ai cru comprendre et elle me répond avec un gros oui. Je raccroche et vais me doucher. Je mets ma minijupe salopette en jean, juge  que je n’ai pas besoin de mettre de haut et enfile mon manteau long. Je fais une petite lèche et un bisou sur le sexe en érection de Ludo avant de sortir de l’appartement.

    Je sonne à la porte de la maison d’Alain qui vient m’ouvrir. Il est nu, sexe au repos, j’ouvre mon manteau, il recule pour mieux me regarder et ouvre grand ses bras. Je l’attrape par le cou et lui roule une pelle pendant que ses mains se perdent sous ma jupe. Il me dit de le suivre au salon et marche devant moi en titubant. Sylvain s’avance vers moi, nu, sexe au repos aussi, met ses mains sur mes joues et m’emballe. Coraline pousse des cris penchée au-dessus d’un guéridon et elle a toujours le combiné du téléphone à la main. Cédric la tient par les hanches et s’active fort et vite derrière elle. Je m’approche d’eux, leur roule une pelle, prends le combiné de la main de Coraline et le raccroche.

    Alain me propose un whisky, je réfléchis, me dis que j’ai un net retard sur eux et lui demande un double. Sylvain retire mon manteau et le pose sur une chaise. Il se place derrière moi, me malaxe les seins et m’embrasse dans le cou. Je sens son sexe se raidir et se redresser entre mes cuisses. Je le bloque en serrant mes jambes, les écarte et son gland vient taper mon minou. Alain me ramène mon verre et je me dégage de Sylvain en lui demandant d’attendre un peu, que j’ai besoin d’échauffement. Il lève les mains et acquiesce en opinant de la tête. Je l’attrape par la queue, l’emmène vers le fauteuil en sirotant mon verre cul sec que je tends à Alain pour qu’il me resserve. Je m’assoie et suce Sylvain. Alain revient avec mon verre et je vois son sexe grossir et s’allonger. Je laisse Sylvain, prends une grosse gorgée dans mon verre et suce la queue d’Alain qui n’est pas encore raide tout en branlant Sylvain.

    Du coin de l’œil je vois Cédric, la queue toujours aussi raide plaquée sur son ventre, emmener Coraline vers le canapé. Il l’allonge avec les fesses posées sur l’accoudoir, met ses jambes sur les épaules et la prend à nouveau.

     Sylvain s’est mis à genoux entre mes jambes et avance mon bassin au bord du fauteuil en me tirant par les hanches. J’écarte mes cuisses au maximum et lui offre mon minou en me mettant sur la pointe des pieds. Le sexe d’Alain reste gonflé mais ne raidit pas dans ma bouche. Je commence à prendre mon pied, ma main gauche caresse la tête de Sylvain et je branle Alain  avec l’autre pour essayer de le faire raidir. Coraline crie et supplie Cédric d’arrêter, Sylvain relève la tête et Alain dit à son fils de venir prendre sa place. Sylvain me dit qu’Alain et lui ont demandé à Coraline de m’appeler car c’était au moins la huitième fois qu’il la sautait et il n’a pas débandé de la nuit. Là ça faisait une heure qu’il la baisait quand je lui ai répondu à 8h00. Je regarde l’heure, il est 9h30.

    Sylvain me guide pour que je me mette à 4 pattes en travers dans le fauteuil, se place derrière moi pour me prendre et Cédric met son sexe dans ma bouche, il est brûlant. Coraline se tient le minou et va à la salle de bain. Alain s’assoit dans l’autre fauteuil et s’assoupit. Sylvain s’active en douceur en moi en enfonçant son sexe à fond et en le ressortant complètement très lentement. Je n’arrive pas à sucer Cédric, je le branle et lui demande quel produit il a pris pour bander aussi fort sans jouir. Il me dit qu’il n’a rein pris, j’arrête de le branler et lui dis qu’il se finisse tout seul. Alain et sylvain rigolent, il est vexé et disparait dans une autre pièce que je suppose être sa chambre. Sylvain, qui s’était arrêté en restant au fond de ma chatte, reprend son mouvement toujours aussi doux et bon. Alain semble ne plus en pouvoir et Coraline revient, s’assoit en tailleur dans le canapé et s’évente le minou avec un magazine. Elle dit en riant mais les larmes aux yeux qu’elle a dû se le laver à l’eau froide et nous éclatons tous de rire tout en la plaignant.

    Je sens que Sylvain a débandé, il se retire, me glisse à l’oreille que c’est l’âge, la fatigue et l’alcool et ajoute, désolé. Je suis déçue mais comprend aussi qu’ils ont baisé Coraline toute la nuit et une partie de la matinée et me lève du fauteuil. Sylvain s’y assoit, m’attrape par les hanches et plaque mon minou trempé sur sa cuisse. Je leur demande leur âge en me frottant sur la cuisse de Sylvain qui me répond « 58 », Alain « 49 et Cédric 18 ». Je finis mon verre et le tends à Alain en disant que j’en veux un double. Il demande aux autres s’ils veulent quelque chose et ils refusent. J’appuie mes 2 mains sur le genou de Sylvain, tends mes jambes et mets mon minou juste devant son nez qu’il enfonce tout de suite dedans. Je lui dis de me faire jouir avec sa la langue et ses doigts. Mon minou est collé sur la bouche de Sylvain qui me fait jouir, Coraline vient à côté de nous et me caresse les fesses. Elle mouille ses doigts, en enfonce un dans ma chatte et un autre dans mon anus. Je vois la queue de Sylvain reprendre de la vigueur sans se raidir et je le branle. Je prends un super pied et Sylvain éjacule quelques gouttes dans ma main.

    Je me lève, Coraline et moi allons nous laver les mains suivies par Sylvain qui va prendre une douche. Alain s’est endormi et nous n’avons pas de nouvelles de Cédric. Coraline me dit que jusqu’à 6h00 du matin elle a passé une nuit magnifique, au maximum de la jouissance pratiquement tout le temps mais qu’après Cédric voulait absolument jouir et qu’elle avait beau le sucer ou le branler entre les fois où il la sautait, elle n’a pas réussi et qu’il lui a mis la chatte en feu. Sylvain qui l’a entendu rajoute qu’il comprend car il la limé plus de 2 heures sans arrêter la dernière fois. Coraline et moi sortons de la salle de bain et je lui dis que je suis sûr, Cédric a dû prendre une drogue quelconque et comme il est jeune, il risque d’avoir la gaule toute la journée. Coraline se rhabille et Alain semble barrer pour dormir toute la journée.

    Je finis mon verre et Cédric revient, la queue toujours au garde à vous. Je lui demande s’il a mal et il me répond que non, il est super bien et il voudrait être toujours comme ça. Coraline lui dit qu’il faut qu’il se contrôle et qu’il s’arrête quand on lui demande. Je me mets en position levrette et lui demande de venir me prendre à condition qu’il vienne doucement et s’arrête à ma demande. Il se place derrière moi et me pénètre lentement. Coraline en bonne professeure vient à côté de nous et lui dit comment faire. Je me prends un super pied tellement il se débrouille bien avec ses conseils. Il me défonce de plus en plus vite et de plus en plus fort. J’espère qu’il va enfin jouir car moi, tous mes membres tremblent, je suis au bord de l’extase. Je lui dis d’arrêter mais il continue. Coraline le pousse au niveau des épaules mais il est agrippé à mes hanches et continue de faire claquer son bassin sur mes fesses. Sylvain arrive, passe son bras autour de son cou et le tire en arrière. Je me retourne, Sylvain le tient toujours, je lui mets une grande claque et le traite de tous les noms.

    Je dis à Sylvain de ne pas le lâcher, je prends mon manteau et dis à Coraline de me suivre. Nous sortons, je claque la porte tout en continuant de l’insulter. Des hommes à vélo passent en sifflant et je me rends compte que, dans mon énervement, je ne l’ai pas boutonné.

     Je m’assois sur mon siège et Coraline s’accroupit à côté de moi. Elle me dit de respirer à fond et de me calmer avant de prendre le volant. Je lui dis qu’il m’avait fait pitié et excitée  de le voir avec sa gaule, que j’ai pris un pied énorme et il a tout gâché en me donnant l’impression d’avoir été violée. Coraline me dit qu’elle a ressenti la même chose ce matin et c’est pour ça qu’elle s’était mise à côté de moi. Je lui roule une pelle, lui souris et la remercie. Elle me dit qu’elle va me suivre et que je n’ai qu’a lui payé l’apéro à la maison.

    Nous sommes chez moi, Coraline va au salon et je lui dis de nous servir le temps que j’aille voir Ludo. J’entrouve la porte, il ronfle, je referme et passe à la salle de bain me rafraîchir le minou. Je retourne au salon, Coraline s’est endormie dans le canapé. Je prends un verre et le bois cul sec. Je prends le 2ème et m’assois dans le fauteuil. Je regarde Coraline, elle a l’air heureuse car elle sourit en dormant. Elle doit faire un bon rêve. Je finis de boire, vais m’allonger à côté de Ludo et m’endors.

    Je suis réveillée par une main qui me caresse le minou et des bisous sur mes seins. C’est Coraline, elle est couchée sur le côté et Ludo est derrière elle et la saute. Nous nous roulons des pelles et nous caressons mutuellement. Je sens qu’elle est en train de prendre son pied. Ludo jouit en elle et nous dit qu’il va boire un whisky.

    Nous restons toutes les 2 et Coraline se met entre mes cuisses pour me lécher la chatte. Très vite, avec sa langue experte, elle me fait jouir. Elle passe sa jambe droite sous ma jambe gauche, vient coller son minou contre le mien et nous les frottons l’un contre l’autre. Ludo revient dans la chambre, un verre plein de whisky dans une main et la caméra dans l’autre. Je lui demande d’aller chercher des lingettes pour nous nettoyer la chatte. Il me donne le verre et nous en buvant chacune  une gorgée. Il revient, me tend les lingettes et je lui rends le verre. J’en donne une à Coraline et met ma chatte au-dessus de sa tête. Je la nettoie et elle en fait de même avec moi. Nous nous léchons et Ludo me met un doigt. Nous prenons à nouveau notre pied, Ludo présente son gland au bord mes lèvres qui s’écartent et il le fait glisser le long de ma fente. J’avance à 4 pattes sur le lit, Ludo me suit et se met accroupi pour me prendre. Coraline s’est mise derrière lui et lui lèche l’anus et les couilles. Je jouis très vite et Ludo dit à Coraline de lui mettre un doigt dans le cul. Il se retire de mon vagin, crache dans mon anus, présente son gland et m’encule doucement jusqu’à la garde. Il reste sans bouger, Coraline me met 2 doigts et j’ai l’impression qu’elle essaye de le branler.Ludo commence lentement ses va et vient, j’ai un peu mal, il accélère et la douleur disparait pour faire place à la jouissance. Je crie de plaisir, il jouit dans mon cul et reste à l’intérieur. Coraline retire ses doigts de ma chatte, je sens que Ludo débande et il se retire. Je m’allonge, repue, à plat ventre sur le lit et Ludo va à la salle de bain.

    Coraline me tend le verre que j’accepte volontiers et me mets sur le côté pour boire. Coraline me caresse la fesse, nous nous sourions et nous roulons une pelle. Ludo sort de la salle de bain et nous y allons. Ludo revient, me donne sa chemise de bûcheron et me dit de la mettre car il va commander des pizzas. Je comprends tout de suite ce qu’il veut. Je la mets et boutonne uniquement celui au niveau du nombril. Nous allons au salon et Ludo passe la commande. Il installe la caméra pour pouvoir filmer la porte d’entrée depuis le couloir et l’ordinateur portable sur la table de salon pour sauvegarder la scène avec la webcam sous un autre angle de vue.

    La sonnette retentit, il met en route les appareils pendant que Coraline m’aide à avoir le décolleté le plus provocant, ils s’assoient dans le canapé et je vais ouvrir. Le livreur, un jeune entre 16 et 18 ans, plonge ses yeux dans mon décolleté. Je prends les pizzas et les posent au sol derrière moi. Je décolle la facture du carton, toujours penchée en avant, mais la déchire. J’essaye de la déchiffrée, toujours dans la même position, mais n’y arrive pas. Je me redresse, mon sein droit est sorti de la chemise, me retourne et lui demande quel prix est indiqué, en lui tendant la facture. Il me balbutie 36 euros et je vais au salon prendre mon porte-monnaie posé sur la table basse. Je reste penchée pour fouiller dedans et sors un billet de 50 euros (je sais qu’il n’a pas de monnaie). Je lui ramène, la chemise s’ouvrant largement sur mon minou quand je marche. Il ne voit que ça et touche son sexe. Il me dit qu’on a dû me dire qu’il fallait juste le compte car il n’a pas de monnaie à rendre. Je retourne au salon fouiller dans mon porte-monnaie, longuement car je cherche l’appoint et lui ramène. Pendant qu’il vérifie je découvre mon sein gauche. Il s’en va, je le suis sur le palier et lui dit au revoir, quand il arrive au tournant, en lui envoyant un baiser. Je rentre et Ludo et Coraline me félicitent pour ma prestation. Modestement je les salue et fais une révérence en tenant les 2 pans de la chemise.

    Nous mangeons nos pizzas et visionnons le film fait avec l’ordinateur. il n’est pas super car on voit plus mon cul et à peine le livreur. Ludo met la carte mémoire pour voir le film de la caméra. Il passe rapidement nos ébats précédents en disant qu’on les verra plus tard. Il commence la lecture quand j’ouvre la porte. On voit très bien le gamin sur celui-là. Il s’accroupit derrière moi quand je pose les pizzas à terre et arrache la facture. Il met la main dans son pantalon et remonte son sexe quand je vais au salon et s’accroupir à nouveau quand je cherche mon argent. Il a les yeux exorbités et regarde en direction de mon minou quand je reviens vers lui.

    Nous finissons nos pizzas et je dis qu’on devrait aller se coucher. Nous passons tous les 3 à la salle de bain nous brosser les dents et nous mettons au lit. Ludo au milieu, Coraline à sa gauche et moi à sa droite. Je me suis endormie très vite la main sur sa queue.

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  • Mercredi 23 janvier 2019

    Il est 22h30, le film est terminé. Ludo est rentré vers 21h00, un peu éméché car ils ont pris l’apéritif à son travail. J’ai entendu parler d’une nouvelle petite discothèque ouverte le mercredi et j’ai envie d’y aller. Je lui en parle, il n’est pas trop enthousiasmé car il n’aime pas trop danser mais il accepte pour me faire plaisir.

    Je vais me changer dans ma chambre. Tenue toute en noir. Minijupe ras des fesses en cuir avec bandes de dentelle transparente d’environ 10 cm sur les côtés, bustier en dentelle transparente et sandales à talons hauts à bouts ouverts, pas faciles à mettre mais d’un superbe effet sexy et perfecto court. Je reviens dans le salon et lui demande ce qu’il pense de mes derniers achats. Il se lève, vient m’embrasser en me caressant les seins et me dit que je vais tous les faire bander.

    Nous arrivons sur le parking qui est pratiquement désert et Ludo me demande si je veux toujours y aller. J’ouvre ma portière et descends de la voiture. Il sonne et la porte s’ouvre sur une montagne de muscles qui s’écarte pour nous laisser passer. Ludo paye les entrées et je me dirige vers la salle où le bar est vide. Ludo y va pour prendre les boissons offertes et je m’avance vers la piste. Elle n’est pas très grande, le sol est un vrai miroir, il y a 3 box à droite, même chose à gauche et au fond. Je longe la piste sur la gauche et j’aperçois 4 silhouettes dans le 2ème box de droite. Il y a une banquette 2 places, 2 pouffes durs et une table ronde par box. Je vais m’assoir dans la banquette de celui en face des jeunes que je distingue mieux.

    Ludo me rejoins avec nos 2 verres suivi du barman qui porte une bouteille de whisky, une de coca et un petit bac à glaçons. Il pose tout sur la petite table en matant mes seins et comme il est penché en avant j’écarte un peu mes jambes en embrassant Ludo. Il tourne la bouteille de whisky 2 ou 3 fois sur place, pareil avec la bouteille de coca, avant de se redresser. Je me dis dans ma tête « un d’accroché ». Je dis à Ludo, qui a déjà bu son verre et le remplit avec ¾ de whisky et une goutte de coca, qu’une bouteille pour 2 c’est beaucoup. Il ne me répond pas et porte son verre à sa bouche. Je déguste lentement le mien.

    Les 4 jeunes sont tournés vers nous et discutent entre eux en regardant dans notre direction. Je me lève en prenant appui sur la banquette avec mes poings et en écartant les cuisses. Je leur tourne le dos et me penche bien en avant pour faire un bisou à Ludo et lui dire à l’oreille que je vais aux toilettes. Je  vois dans les miroirs de part et d’autre de la piste qu’ils se sont levés pour me regarder m’éloigner. De retour, je m’arrête à l’entrée du box et prends mon verre pour le finir en regardant Ludo qui s’endort et penche de plus en plus sur sa droite. Je prends la bouteille de whisky et je comprends pourquoi, elle est aux 2/3 vide. Je me sers un fond avec beaucoup de coca et bois une gorgée avant d’aller sur la piste.

    Je commence à danser et je sens déjà que ma jupe remonte. Les 4 jeunes viennent autour de moi, 2 devant et 2 derrière. Je lève mes bras au-dessus de ma tête pour bien montrer mes seins aux 2 de devant et écarte mes jambes pour que ma jupe remonte un peu plus. Je suis sûre qu’ils peuvent voir la naissance de mes fesses et mon minou surtout s’ils regardent vers le sol. Celui qui est devant moi sur la droite fait un signe à ses potes qui sont derrières. Il met 2 doigts devant ses yeux et montre le sol. Je regarde vers Ludo, il est allongé sur la banquette. Je fais un ½ tour sur moi-même. Ils avaient tous les 2 les yeux baissés, ils relèvent la tête pour mater mes seins et rebaissent les yeux. Apparemment mon cul et mon minou les intéressent plus. Je fais un nouveau demi-tour et me dirige vers mon box. Je soulève la tête de Ludo, m’assois et la repose sur mes cuisses. Je me dis « Et de 5, peut-être 6 car j’ai aperçu Musclor au bord de la piste». Les 4 jeunes sont retournés s’assoir.

    Je retourne sur la piste et les 4 jeunes reviennent m’entourer. Les 2 de derrière posent chacun une main sur mes fesses et ceux de devant me caressent chacun un sein. C’est exactement ce que j’espérais et je ferme les yeux pour mieux les ressentir. Je sens que je commence à vraiment mouillé quand je sens une main descendre lentement sur ma taille puis mes hanches et se diriger vers mon minou. Je me dis que ça devient trop chaud car Ludo est toujours endormi et à leur grand désarroi je retourne m’assoir.

    Il est 1h30 et j’essaye, en vain, de réveiller Ludo. Je décide d’aller demander au videur de m’aider à le ramener à la voiture. Il accepte et me dit de lui montrer où il est. Je marche devant lui et arrivée au box, je lui dis qu’il faut que je récupère les clés de voiture dans sa poche. Je me penche pour fouiller dans la poche de la veste de Ludo, une main se pose sur mes fesses, un doigt me pénètre et une autre main vient me malaxer le sein gauche. Le doigt bouge en moi, je ferme les yeux et garde ma position. Il me dit « T’aimes ça petite allumeuse » et je réponds que j’adore. Finalement, il me pousse sur le côté, enlève ses mains, redresse Ludo et le charge sur son épaule. Nous arrivons à la voiture, j’ouvre la portière arrière et il met Ludo sur la banquette. Il ouvre la portière avant, me met face au siège et me dit de me pencher. Je m’exécute et écarte mes jambes pendant qu’il baisse son pantalon. Il me prend par les hanches, me pénètre d’un coup profondément et me baise en m’insultant, ce qui m’excite encore plus. Je prends mon pied et je ne retiens pas mes cris, les 4 jeunes sortent de la boîte et viennent vers nous. Ils sortent leurs portables et filment en se branlant. Il se retire et éjacule sur ma jupe. Un des jeunes lui demande de se pousser et il prend sa place. Ils me sautent tous les uns après les autres. Le videur est rentré et le barman sort. Le dernier jeune jouit en moi et laisse la place au barman. Je jouis pour la sixième fois de suite et je suis heureuse. Le barman éjacule sur mes fesses, remonte son pantalon et retourne dans la boîte. Les jeunes filment toujours, je m’assois au volant, ferme la portière et démarre.

    Nous sommes de retour et impossible de réveiller Ludo. Je le laisse dormir dans la voiture et rentre chez moi. Je prends une douche, nettoie ma jupe et vais me coucher.

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  • Vendredi 25 janvier 2019

    Il est 18h00, je suis nue chez moi et j’ai envie de boire un Whisky. Je me sers et finis la bouteille. Je regarde dans le bar, il n’y en a pas d’autre. Je décide d’aller en acheter à la petite superette pas très loin de chez moi et vais m’habiller, leggings fin, transparent, noir (j’adore, on voit tout), pull blanc moulant, perfecto noir court et bottines à talons.

    Avant d’entrer dans le magasin, je remonte la ceinture de mon leggins pour qu’il épouse bien mes formes. Il semble qu’il n’y ait pas grand monde et je me dirige vers le rayon des alcools. Un homme est accroupi et hésite entre plusieurs bouteilles de champagne. Je me place à côté de lui et prends une bouteille en haut du rayon au-dessus de sa tête. Il regarde dans ma direction, ses yeux sont à la hauteur de mon minou, il rabaisse ses yeux vers la bouteille qu’il a dans la main et les relèvent aussitôt. Je replace la bouteille à sa place, il ne quitte pas mon minou de vue. Sûre d’avoir captivé son attention, je vais devant les whiskies.

    Je prends une bouteille, il passe derrière moi et vient s’accroupir à côté de moi. Je mets la bouteille dans mon panier, sors mon téléphone de ma poche, me tourne vers lui et parle à mon correspondant fictif. Ses yeux sont exorbités, je me tourne et retourne plusieurs fois pour qu’il mate mon cul et mon minou. Je prends une autre bouteille, le dos à lui, me baisse pour la placer dans mon panier que j’ai posé au sol et recommence avec une troisième.

    Je raccroche, ramasse mon panier et me dirige lentement vers la caisse. Il me suit. A la caisse, je repose mon panier au sol et mets les bouteilles une à une sur le tapis. Il s’est baissé comme pour regarder les magazines qui sont dans le présentoir mais ne quitte pas mon cul des yeux. Je règle la caissière avec ma carte bleue, la remercie, lui souhaite une bonne soirée et le regarde en me caressant la fesse. Je lui dis au revoir, lui fais mon plus beau sourire et passe ma langue sur mes lèvres. Je sors, monte dans ma voiture et démarre rapidement avant qu’il ne sorte.

    Je rentre à la maison, Ludo est là avec Laurent, Éric et Philippe. De bons souvenirs me reviennent tout de suite en tête. Je lui donne le panier, il va au bar ranger les bouteilles. Il ne peut pas me voir, je leur fait un bisou sur la bouche, ils en profitent pour me mettre la main au cul et Laurent me demande si je n’ai pas peur de sortir dans cette tenue, que si je n’avais rien sur le cul ce serait pareil. Je lui souris, lui fait un clin d’œil et leur dit que je vais me changer pour être plus à l’aise. Je mets ma minijupe plissée écossaise  ras des fesses et un sweat blanc qui s’arrête sous les seins.

     Je suis de retour au salon, Ludo est dans un fauteuil, Laurent en face de lui dans l’autre, Philippe et Éric sont dans le canapé. Je m’assoie, sur l’accoudoir de Ludo, jambes bien écartées pour le plaisir de Laurent. Je prends mon verre sur la table et passe ma main derrière ma tête ce qui a pour effet de découvrir mon sein gauche. Ludo discute foot avec Éric et Philippe et ne se rend compte de rien. Laurent serre son sexe dans sa main et me montre qu’il bande. Philippe se penche de temps en temps pour mater discrètement alors qu’Éric est mal placé. Je me lève et dit que leur conversation ne m’intéresse pas, que je vais lire dans ma chambre. Je suis allongée sur mon lit, Laurent arrive, baisse son pantalon et me présente sa queue pour que je le suce. Il me dit qu’il a feint d’aller aux toilettes et jouit très vite dans ma bouche. Il remet son pantalon, suce mes tétons qui pointent et repars. J’entends qu’il tire la chasse d’eau.

    Je reviens dans le salon et me sers un verre. Je prends un tabouret de bar et m’assoit en face d’Éric et Philippe. Je pose mes pieds sur la barre et écarte mes cuisses quand Ludo tourne la tête vers eux et qu’ils me regardent. Ils jouent le jeu en attirant son attention. Je lève mes bras, comme pour m’étirer, mon sweat remonte au-dessus de mes seins et je passe ma langue sur mes lèvres. Je me lève et dit que j’ai une petite faim. Philippe m’emboîte le pas en invoquant toujours le même prétexte. Je le précède dans la cuisine, il me prend par les hanches et me plaque les fesses sur son sexe. Je tortille mon cul pour bien le sentir et il passe ses mains sous mon sweat. Je m’appuie sur la table, me penche, écarte mes jambes et lui dis de me prendre. Il ouvre sa braguette, sort sa queue de son caleçon et m’introduit facilement tellement je suis trempée. Je lui dis de ne pas se retenir, de jouir vite pour que Ludo ne se demande pas ce qu’il fait. Très vite je prends mon pied et il éjacule en moi. Il se retire, je lui donne un sopalin pour qu’il s’essuie et lui dis qu’il prévienne discrètement Éric que je l’attends dans la salle de bain.

    Je me lave le minou et le sèche. J’ouvre la boîte de vaseline et en enduit mon anus. Je le prépare en introduisant 2 doigts dedans et Éric me trouve dans cette posture en entrant dans la salle de bain. Il me dit « Hé ben toi ma salope, tu es chaude ». Je lui dis dépêche-toi de baisser ton pantalon et assois toi sur le bidet. Il me présente sa queue, je me mets de dos devant lui et m’empale d’un coup dessus. Je reste assise dessus en faisant des ronds avec mon bassin pour bien la sentir. Je prendrais bien mon temps mais on n’en a pas. Je m’appuie sur ses genoux et fait aller et venir son sexe dans mon cul, d’abord lentement puis rapidement très vite. Ses jambes se tendent vers l’avant, il appuie sur mon clitoris en faisant tourner l’extrémité de ses doigts et je prends mon pied quand je sens la chaleur de son sperme en moi. Je reste un peu sans bouger, me lève et lui donne un gant de toilette. Il se lave, remet son pantalon et retourne au salon.

    Je suis sous ma douche et j’entends les 3 me crier « Bonsoir Ludivine ». Je me sèche et Ludo rentre dans la salle de bain. Il me dit que je dois leur faire de l’effet car ils sont sûrement aller se branler encore une fois. Je lui réponds que je n’ai rien fait pour. Il me rétorque que ça doit être ma tenue qui les a excités et qu’heureusement je n’ai pas passé toute la soirée au salon. Nous sortons de la salle de bain et je lui dis qu’il mange s’il veut, moi je vais me coucher. Il me répond qu’il va boire un verre et me rejoindre après. Je m’allonge, heureuse des évènements de la soirée, assouvie et m’endors.

     

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  • Samedi 26 janvier 2019

    Il est 11h00, je demande à Ludo s’il veut bien qu’on aille au bar de Serge car il y a longtemps que j’ai vu William (Petit papy Anglais pervers de 70 ans qui aime caresser mes cuisses). Il me répond que lui est déjà habillé, qu’il n’attend plus que moi. Je cherche, dans mon armoire, et trouve une minijupe en jean et un pull beige à trous. Je mets mes bottines à talons hauts, mon perfecto court et nous partons.

    Nous entrons dans le bar, je fais la bise à Serge, sa femme Alice et à quelques clients que nous connaissons. J’aperçois William au bout du bar, je le rejoins, lui fais un bisou et m’assois sur un tabouret que j’avais récupéré en passant. Ludo est resté à discuter du tiercé avec des potes, je suis sûre qu’il en a pour un bon bout de temps. William me demande ce que je veux boire et pose sa main droite sur mon genou. Alice me sers et la main de William remonte sur l’intérieur de ma cuisse en la caressant. Je frissonne et écarte un peu mes cuisses. Sa main est passée sous ma jupe et son auriculaire effleure mon minou. J’attrape son poignet et redescends sa main sur mon genou. Coraline m’appelle pour me dire qu’elle est à notre porte. Je lui réponds que nous sommes chez Serge et Alice. Le temps que je réponde, la main de William est remontée jusque sous ma jupe. Je le laisse faire et son doigt touche à nouveau mon minou. Je redescends sa main.

    Coraline est arrivée, elle fait la bise à tout le monde, même ceux qu’elle ne connait pas, prend un tabouret et me fait un bisou sur la bouche. William en a profité pour remonter jusqu’à mon minou. Elle le voit, lui donne une tape sur la main et il la redescend. Elle s’assoit de l’autre côté de William, dos au bar, lui fait la bise et il pose aussitôt son autre  main sur sa cuisse. Elle lui dit qu’il va avoir du mal à boire son verre sans ses mains et il lui répond qu’il n’a pas soif pour le moment. Nous rions tous les 3. La main de William est au bord de ma jupe et il me caresse l’intérieur de la cuisse plus fort. Je regarde sa main gauche, elle est sous la jupe de Coraline et lui caresse le minou. Elle a les cuisses bien ouverte, la tête en arrière, les yeux fermés et pince ses lèvres.

    J’aurais bien fait la même chose mais je vois Ludo venir vers nous et je repousse la main de William. Ludo voit la position de Coraline, me dit qu’elle a l’air chaude ce midi, qu’il va partir avec un pote pour l’aider à aller chercher un meuble chez Castorama, que je fais comme je veux mais que si je rentrais avec Coraline ça l’arrangerait. Je lui dis que je l’appelle pour le tenir au courant de ce que je fais. Il me fait un bisou et s’en va.

    La voir comme ça m’excite et je regarde derrière moi. Il n’y a personne aux tables, je pousse la main de William, fais un demi-tour sur mon tabouret pour me retrouver dos au bar et ouvre mes jambes. William passe sa main sous ma jupe et nous caresse toutes les 2. Son majeur appuie et tourne sur mon clito et je sens le plaisir monter en moi. Mes fesses glissent jusqu’au bord du tabouret, son doigt me pénètre et bouge en moi. Je jouis, je prends son poignet et retire sa main avant de ne plus pouvoir retenir mes gémissements. Nous nous regardons et nous sourions. Je prends une grande inspiration, souffle et me remets face au bar. Mon minou est trempé et mes joues sont en feu.

    Je me lève pour aller parler discrètement à Coraline. William commande une tournée pour nous 3 et je chuchote à Coraline que c’est la première fois que je le laisse faire et j’ai pris mon pied. Elle me dit qu’elle aussi a joui, comme chaque fois qu’elle le voit ici et que c’est pour ça qu’elle s’était tout de suite assise dos au bar. Elle ajoute qu’elle va aller aux toilettes dans la cour et qu’il va la rejoindre pour qu’elle lui taille une pipe. Elle se lève, je retourne m’assoir, je trinque avec William, nous buvons une gorgée et il part à son tour dans la cour.

    William revient, un pan de sa chemise est en dehors de son pantalon et je lui fais remarquer. Il me remercie, le replace et boit son verre cul sec avant de nous en recommander un autre. Coraline revient quand Serge est en train de nous servir, elle avale son whisky et tend son verre à Serge. William sourit, sifflote et nous tapote les cuisses. Sa main remonte sous ma jupe et mes cuisses s’écartent sans que j’aie la volonté de résister. Son auriculaire vient titiller mon clito et je m’avance sur le bord du tabouret. Il se met alors dos au bar et passe son autre main sous ma jupe. Son majeur et son index appuient et tournent vite, je prends mon pied, retiens mes gloussements en me pinçant les lèvres et en serrant fort mon verre entre mes mains. Pour ne pas crier, je me lève et me dégage sur le côté. Mes jambes tremblent et j’ai du mal à redescendre de mon nuage. Je ne vois pas Coraline à côté de William, je lui demande où elle est et il me répond qu’elle est sortie téléphoner. Je lui fais une bise et sort la rejoindre. Je lui demande de me ramener et lui rappelle que nous allons chez Alain ce soir. Elle me répond qu’elle va me déposer chez moi mais qu’elle ne viendra pas ce soir car elle n’a pas envie de revoir Cédric pour le moment et en plus on vient de l’inviter à une autre soirée qui s’annonce chaude aussi. Je lui souris et nous montons dans sa voiture.

    Il est 18h00, je sors de ma douche et Ludo n’est toujours pas rentré. Je vais m’habiller dans ma chambre. J’enfile ma micro robe fuseau en cuir noir à manches longues avec un large décolleté jusqu’au nombril et dos nu jusqu’à la raie des fesses. J’adore cette robe très moulante qui ne cache rien et je mets mes bottines noires à talons hauts. La sonnette retentit et je vais ouvrir.  C’est Luc qui ramène Ludo complètement bourré, incapable de marcher. Je l’aide à le soutenir pour l’emmener se  coucher sur le lit et lorsque je me penche pour allonger Ludo ma robe remonte à mi- fesses. Luc, qui a pris du recul pendant ce temps-là, profite de la vue et me dit que Ludo est vraiment con de louper ça. Je rajuste ma robe et lui répond qu’il a raison car je voulais lui faire une belle surprise. Je lui demande s’il veut prendre un verre. Il me répond que ça aurait été avec plaisir mais sa femme l’attend dans la voiture. Je le remercie d’avoir ramené Ludo et le raccompagne à la porte. Je lui fais la bise, sa main droite me caresse les fesses et sa main gauche passe dans mon décolleté pour malaxer mon sein. Je reste sans réaction, on se roule une pelle et il me dit à bientôt j’espère.

    20h00, Alain m’ouvre, me roule une grosse pelle et est étonné de ne pas voir Coraline et Ludo. Je lui explique pour Ludo, lui dis que Coraline a eu un empêchement et il me débarrasse de mon manteau. Nous dirigeons vers la salle sa main posée sur mes fesses et à ma grande surprise, il y a 4 hommes que je ne connais pas et je ne vois pas Cédric. Je m’arrête sur le pas de la porte et pense que la soirée risque d’être très chaude. Alain me dit « Ludivine, je te présente mes frères, Maurice, Frédéric, Serge et Olivier ». Olivier qui semble le plus jeune, environ la quarantaine, se serre la bite à travers son pantalon et la secoue. Je leur fais la bise, leurs mains se baladent sur mes fesses. Je vais rouler une pelle à Sylvain et attrape sa queue pour vérifier qu’il ne porte rien dessous. Les 4 frères d’Alain, impatients, viennent m’entourer et me caressent. Même si c’est délicieux, je leur demande de me laisser un peu de temps. Alain vient à mon secours en demandant à tout le monde de passer au salon pour prendre l’apéritif.

    Sylvain s’assoit dans un fauteuil et, pour être sûre que la soirée commence en douceur, je m’assoie sur ses genoux. Les frères sont déçus et prennent place dans le canapé et l’autre fauteuil. Alain arrive avec une desserte où il a posé verres et bouteilles. Il nous sert tous un verre et nous dit qu’après chacun se sert. Sylvain a passé sa main dans mon décolleté et roule mon téton qui pointe entre son index et son majeur. Il a fini son verre et me demande pour le resservir. Je me lève, ma robe ne cache plus rien de mon intimité et je me dirige vers les bouteilles. Olivier vient se mettre à côté de moi et veut me caresser le minou. J’attrape son poignet pour le stopper et lui demande d’attendre la fin du deuxième verre.

    Mon verre est fini, je me lève, vais au milieu du salon et, en commençant à enlever ma robe, je dis « tout le monde à poil ». Aucun n’a rechigné et ils arrivent les uns après les autres, Olivier en premier, pour me caresser et rouler des pelles. J’ai maintenant 12 mains qui me caressent le corps, fouillent mon cul et ma chatte et 6 queues en érection que je branle. Je m’accroupis, jambes écartées pour les sucer et Alain, le spécialiste de la langue, passe sous moi pour me lécher. C’est la volupté et je me laisse tomber en arrière pour m’allonger.

    Ça fait 2h que je prends pied sur pied sans jamais redescendre en branlant, suçant, me faisant prendre la chatte, le cul, 4 fois les 2 en même temps mais tout en douceur sous la bienveillance de Sylvain et Alain. Je demande un peu de répit pour aller prendre une douche car il y en a toujours 1 ou 2 qui bandent dès que j’ai un trou de libre. C’est Sylvain qui endosse le rôle de mon garde du corps pour stopper leurs ardeurs bien qu’il soit en érection. Il propose qu’ils prennent tous un verre et je peux aller à la salle de bain. Je regarde l’heure, il est 23h30, avant de passer sous la douche, je vérifie sur mon portable si j’ai eu un appel de Ludo mais rien. Je prends longuement ma douche pour bien retrouver mes esprits, me sèche et retourne au salon.

    Je regarde l’heure en passant, 0h15, je vois les 4 frères tassés dans le canapé, me sers un verre et vais m’allonger sur leurs cuisses. Ils sont ravis, surtout Olivier car j’ai la tête de son côté. Le plus déçu est Maurice car il a mes pieds. Frédéric et Serge commencent à me caresser les fesses et le dos. Je bois une gorgée et je vois se dresser la queue d’Olivier devant moi. Je le caresse et le suce, la sonnette retentit et Alain se lève pour aller voir. Je me suis mise à genoux sur les cuisses de Frédéric qui me caresse le minou, Serge me masse les seins et je continue de sucer Olivier. J’entends la voix de Ludo « Je vois que tu ne t’ennuies pas, Ludivine. Je suis venu parce que je m’en voulais de t’avoir laissée venir toute seule. Je pensais que tu te faisais chier mais je constate que non. Je pense que tu as assez de queues pour toi ce soir. Prends bien ton pied. A demain. » Il fait demi-tour et s’en va. Alain lui propose de boire un verre, il hésite, réfléchit, accepte et commence à se déshabiller. Alain et Sylvain le félicitent de sa réaction et je recommence à sucer Olivier en pensant « 2 mains et 1 queue de plus ». Ludo vient se mettre debout à côté de moi, la queue en érection, me dit de me mettre à genoux devant Olivier pour me prendre en levrette car il a sûrement du retard par rapport aux autres.

    Ils semblent tous avoir les couilles vides et je me dirige vers la salle de bain. Je suis épuisée mais comblée car je n’avais jamais joui aussi longtemps sans arrêt. Je regarde l’heure, il est 5h30 et je comprends mieux pourquoi. J’ai du sperme qui coule le long de mes cuisses et j’en ai plein le corps et les cheveux. Je me précipite sous la douche car l’odeur commence à m’incommoder. Ma douche est terminée, je sors de la salle de bain et j’enfile mon manteau sans remettre ma robe car j’ai des frissons. Je retourne au salon et je croise Sylvain. Il me roule une pelle, me dit que j’ai été fantastique et rentre dans la salle de bain. Je rentre dans le salon, demande à Maurice de me laisser sa place et m’avachis dans le fauteuil jambes et bras écartés. Alain me demande si je veux quelque chose, je lui réponds « un double whisky ». Ludo vient se mettre à genoux entre mes jambes, passe ses bras autour de ma taille, pose sa tête sur mon ventre et dit qu’il m’adore. Je lui dis que j’ai passé une nuit superbe et je le remercie d’être resté. Il me répond qu’il a adoré me voir jouir comme une salope baisée par toutes ces queues. Il se redresse et me roule une grosse pelle en malaxant mon sein gauche puis il s’assoit par terre entre mes cuisses sur lesquelles il dépose des bisous. Les autres continuent le défilé dans la salle de bain, ont des mots sympas pour dire à Ludo qu’il a une femme d’enfer et qu’il ne faut pas qu’il la lâche. Je pense que maintenant je n’aurai plus besoin de me faire sauter à la sauvette dans son dos et que ce sera mieux pour moi mais aussi pour lui. Je lui demande de me resservir un double car là c’est moi qui aie du retard sur les autres. Je remarque que j’ai beau être nue sous mon manteau, jambes et bras écartés, il n’y en a pas un qui bande et ça me prouve que j’ai bien dû les vider. Les frangins se montrent les vidéos qu’ils ont faites avec leurs portables et se félicitent ou se charrient. Ludo va à la salle de bain, les frangins viennent me rouler des pelles en me caressant les seins et me disent que je suis super bonne avant de saluer Alain et Sylvain pour partir. Ludo revient habillé et me demande si je veux mettre ma robe pour rentrer. Je lui réponds que non car comme ça je n’aurai que mon manteau à enlever pour me coucher. Je demande par curiosité à Alain l’âge de ses frères. Il me répond Maurice 51, Serge 43, Frédéric 40 et Olivier 37. Je lui roule une pelle, il m’enlace et me malaxe les fesses car je n’ai pas encore boutonné mon manteau. Je roule une pelle à Sylvain qui fait pareil pendant que je serre sa queue à travers son pantalon. Elle commence à épaissir dans ma main et il me souffle « coquine » à l’oreille. Ludo leur serre la main et nous partons mon manteau grand ouvert. Je suis heureuse, euphorique, comblée et je pense que je vais bien dormir. Ludo me demande si je n’ai pas froid, je lui répond que non et enlève mon manteau pour me retrouver nue avec des bottines à talons hauts dans la rue. Un papy qui promène son chien doit me prendre pour une folle quand j’arrive en face de lui. Pour en rajouter, en arrivant à côté de lui, je m’arrête pour rouler une grosse pelle à Ludo qui me soulève en écartant mes fesses. Nous montons dans la voiture en nous éclatant de rire et partons. Sur la route j’avoue à Ludo que ses potes Éric, Philippe et Laurent n’allaient pas aux toilettes pour se branler mais venaient se faire sucer ou me sauter. Je lui dis aussi que je me suis fait sauter par le vieux sur le billard et les 4 jeunes, le barman et le videur à la portière de la voiture, mais que tout ça c’est de ma faute car je ne peux pas m’empêcher d’allumer et d’exciter les hommes, mais aussi, que s’il était moins souvent bourré, il se rendrait compte de certaines choses. Il me sourit, me dit qu’il est content que je lui dise, même si c’est un peu tard, mais qu’à l’avenir il sera plus attentif quand il y aura un homme avec nous. Nous sommes arrivés, je sors nue de la voiture et enfile rapidement mon manteau que je ne boutonne pas mais maintiens fermer. La porte du hall franchie je le lâche grand ouvert quand je m’aperçois qu’un de nos voisins arrive en face de moi. Sans le refermer, je lui dis bonjour et sans attendre sa réponse je me précipite dans les escaliers. J’ouvre ma porte d’entrée, fonce dans ma chambre, jette mon manteau au sol et me couche. Ludo rentre, se déshabille, se couche et me dit qu’il a croisé un voisin qui lui a dit que j’étais canon. Comme je lui tourne le dos, je ne lui réponds pas et feins de dormir.

     

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  • Dimanche 27 Janvier 2019

    J’ouvre un œil, il est 18h00, j’ai super bien dormi et fais de beaux rêves. Ludo n’est plus dans le lit. Je me lève et me dirige au radar vers la cuisine pour me faire un expresso. Celui-ci prêt, je décide d’aller le boire au salon. Ludo est allongé par terre et Coraline le chevauche avec ardeur. Je leur envoie un baiser en passant à côté d’eux et vais m’assoir dans le fauteuil. Coraline s’est arrêtée et je lui dis de ne pas faire attention à moi, de faire comme si je n’étais pas là. Sans se faire prier elle reprend sa chevauchée fantastique et je sirote mon café en les regardant. Ludo lui demande d’arrêter et de se mettre à 4 pattes. Il se met derrière elle, la pénètre et s’active lentement en rentrant et sortant sa queue entièrement. Il sait que j’adore ça aussi. Ils me regardent tous les 2,  je leur souris et leur envoie un baiser. Coraline est trop belle quand elle prend son pied, haletante la bouche ouverte et les yeux fermés. Il la retourne, met ses jambes sur ses épaules, soulève son bassin et la prend toujours aussi lentement. Elle jouit, elle gémit à chaque fois qu’il rentre sa queue en elle. Je me lève et vais me refaire un café.

    Je reviens, ils sont couchés sur le côté et il l’encule vigoureusement. Je le connais bien, il ne va pas tarder à envoyer la purée. Coraline pousse des petits cris et j’entends le râle de jouissance de Ludo au moment où je m’assoie. Je pense « j’aurais dû parier » et je souris. Ludo se retire et je lui lance le rouleau de sopalin que j’avais ramené. Il en prend une feuille et le donne à Coraline. Il se lève et va à la salle de bain. Elle prend 2 ou 3 feuilles qu’elle met entre ses cuisses, se lève, vient me rouler une grosse pelle, me dit qu’il faut qu’on parle et file rejoindre Ludo.

    Ludo revient, me fait un bisou et se sert un whisky. Je lui demande d’en mettre un pour Coraline et pour moi. Il les pose sur la table et s’allonge dans le canapé. Coraline revient, soulève les pieds de Ludo et s’assoit dans le canapé au plus près de moi. Elle me dit que Ludo a commencé à lui raconter la nuit mais que plus il racontait plus elle était excitée et lui bandait. De le voir bander l’excitait encore plus alors elle a commencé par le sucer et après j’ai vu. Elle veut que je lui raconte à ma manière et que je lui dise ce que j’ai ressenti. Je commence à raconter mon arrivée chez Alain, Ludo se redresse pour s’assoir à côté d’elle. J’arrive au moment où je me retrouve nue au milieu de tous et j’aperçois sa queue qui se durcit. Il bande carrément quand je parle des premiers coups de queue que j’ai pris dans ma chatte. Un peu plus loin dans mon récit, je la vois qui le branle lentement du bout des doigts et lui s’est vautré dans son dos et lui titille les tétons. Quand je raconte le moment où Ludo est arrivé, sa main est bien serrée autour de sa queue, elle le branle par intermittence et elle a les cuisses écartées. Lui, il lui malaxe le sein droit et lui titille le clito avec sa main gauche. Je regarde l’heure, il est 20h00, je leur dis que je vais prendre une douche et que pour la suite, Ludo pourra raconter avec moi.

    Je sors de la salle de bain et j’ouvre la porte de ma chambre pour voir l’heure à mon réveil, il est 21h00. J’entre dans le salon, Coraline est debout, jambes écartées, penchée en avant en appui sur l’accoudoir du fauteuil. Ludo est derrière elle, la tient par les hanches et la tringle en douceur. Ils tournent la tête vers moi, je leur souris et prends mon verre vide sur la table. En allant me servir, je m’arrête à côté d’elle et lui caresse son sein droit en coinçant son téton qui pointe entre mon majeur et mon index. Je fais une bise sur l’épaule de Ludo et vais me servir. Je reviens m’assoir dans le fauteuil où elle est appuyée, bois une gorgée et lui roule une grosse pelle en lui caressant son sein gauche. Sans le lâcher, je rebois une gorgée et lui roule à nouveau une grosse pelle. Je pose mon verre sur la table, m’agenouille dans le fauteuil et présente ma poitrine devant sa bouche pour qu’elle me suce les tétons pendant que je lui caresse les seins. Ludo la secoue de plus en plus fort, je lui dis que ça fait plus d’1 heure qu’il la baise et lui demande d’arrêter un peu pour qu’il ne jouisse pas tout de suite. Il se retire, je m’assoie dans le fauteuil et guide la tête de Coraline entre mes cuisses. Sa bouche et sa langue expertes sont tout de suite très efficaces. Ludo présente sa queue devant ma bouche et je le suce. Elle est chaude et a le bon goût de la chatte de Coraline. Je tiens la tête de Coraline et très vite je prends mon pied. Ludo appuie derrière ma tête et me baise la bouche jusqu’au fond de la gorge. J’ai des hauts de cœur et j’ai failli le mordre alors il relâche son étreinte. En haletant je lui demande de nous resservir. Coraline met 3 doigts dans ma chatte qu’elle bouge vite et fort tout en me mordillant mon clito saillant. Quelques petits coups rapides de la pointe de la langue et c’est l’extase. Ludo est revenu avec les verres, je demande à Coraline d’arrêter et dis à Ludo qu’ils se finissent tous les 2. Il est 22h00, j’ai pris un bon pied, je suis crevée, je me lève et leur dis que je vais me coucher. Je les entends entrer dans la salle de bain, il est 22h45. Ludo fait le tour du lit et me demande si je dors. J’ai les yeux fermés et ne lui réponds pas. Dans les glaces de la chambre je les vois, debout devant le pied du lit, s’enlacer, se galocher et caresser fougueusement. Il la soulève en la maintenant sous les fesses, elle a les bras autour de son cou et serre ses jambes autour de sa taille. Ludo bande, il la fait descendre pour coulisser sa bite dans sa chatte, elle s’accroche fort à son cou et il commence des va et vient en donnant des petits coups de rein. C’est moi qui lui ai appris cette position, c’est super car là il peut te pénétrer sur toute la longueur de sa queue. J’ai l’impression que ça les excite de baiser à côté de moi qu’ils croient endormie et je suis contente de participer à leur plaisir car je les aime tous les 2. Ludo passe sur le côté, toujours en la portant et la pose délicatement en travers du lit. Sa tête touche mes hanches et je sens tous les coups de boutoir qu’il lui donne. Ils sont très rapides et très forts. Coraline gémit de plaisir et Ludo pousse son râle au moment où il éjacule en elle. Il la reprend dans ses bras et toujours en elle l’emmène dans la salle de bain. Je regarde l’heure, il est 23h30.  Je me suis endormie très vite, ravie de ne pas les avoir dérangés.

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