• Le père des jeunots

    Mercredi 16 Janvier 2019

    Je me réveille et je constate que je suis seule dans mon lit. Je regarde le réveil, il est 07h30, je ne l’ai pas entendu sonner ou alors j’ai oublié de l’enclencher hier soir. Je me lève et me dirige vers la cuisine. Arrivée dans le hall d’entrée, j’aperçois Ludo et Coraline dans le miroir. Il est assis sur une chaise, elle est assise à califourchon sur lui en lui tournant le dos, elle est appuyée sur la table avec ses avant-bras et ses mouvements du bassin ne trompent pas sur ce qu’ils sont en train de faire. Elle se redresse et il attrape ses seins. Je ne veux pas les interrompre et je vais à la salle de bain.

    Ma douche est prise et je vais dans ma chambre. Il est 08h00 et je vais être en retard. J’enfile un corsage blanc, la jupe de tailleur mi-cuisse et la veste. Je suis secrétaire de direction, mon patron a 45 ans, plutôt bel homme et il m’adore. Sa femme est la comptable, elle a 38 ans, belle femme mais austère et elle me déteste. Il arrive qu’il passe la main sous ma jupe lorsque je suis debout à côté de lui à son bureau. Il m’a doigtée mais jamais sautée.

    Je suis prête, je vais dans la cuisine me faire un expresso. Ludo sort de la salle de bain et est remplacé par Coraline. Je bois rapidement mon café et je pars en leur criant au revoir.

    Il est 18h00, je suis rentrée et je suis nue allongée les yeux fermés dans mon canapé. La journée a été longue car mon patron était en rendez-vous toute la journée. Il m’avait bien laissé des consignes mais ce fut vite fait. Bizarrement sa femme a été agréable avec moi. Je décide d’appeler Coraline pour qu’elle me raconte sa nuit avec Ludo mais je tombe sur sa messagerie et je raccroche. Elle verra bien que je l’ai appelée et si elle veut elle me rappellera.

    Je décide de me passer le film que nous avons fait le 22/08/2018 dans un supermarché pendant nos vacances. J’avais mis une minijupe blanche, ample et légère et un débardeur blanc très court qui m’arrivait à la naissance de mes seins.

    Nous arrivons sur le parking et le vent chaud souffle fort. Ludo reste dans la voiture le temps que j’aille chercher un caddy. Ma jupe vole et se retourne, un homme me suit à une dizaine de mètres. Il sort son portable et me filme. Je me débats avec ma jupe pour essayer de la maintenir mais bien sûr en vain. Je fais des tours sur moi-même lui montrant alternativement mon petit cul ou mon minou. Devant le caddy ma jupe est complètement relevée et je cesse de lutter avec. Il reste derrière moi jusqu’au moment où je rentre dans le magasin et en passant à côté de moi il me remercie et je lui souris.

    Ludo est tout excité quand il me rejoint et nous visionnons quelques moments qu’il a enregistrés sur un banc dans la galerie marchande. Un homme d’une soixantaine d’années s’est assis en face de nous et Ludo se lève en me disant qu’il va voir une vitrine. En fait il nous filme le vieux et moi en train de jouer avec mes jambes.

    Je pose mon pied sur le banc pour me frotter le tibia et l’ancien, qui n’est pas tout à fait en face de moi, laisse glisser sa main sur son dossier pour se pencher et mieux mater mon minou. Je garde la pose en croisant mes doigts devant ma jambe. J’aperçois une femme qui arrive derrière lui et je reprends une posture décente. Elle lui tapote la tête, lui parle d’un air fâché, il se lève et ils partent. Ludo revient s’assoir à côté de moi et nous visionnons à nouveau quelques extraits et ce que je n’avais pas vu c’est que le vieux avait du mal à mettre son sexe en place dans son pantalon.

    Un homme arrive au loin, je me lève et je dis à Ludo de le filmer. Je mets mon pied sur le banc et les fesses tournées vers lui je me penche pour remettre la boucle de ma sandale. Il s’arrête net et répond à son téléphone qui n’a jamais sonné. Je prends mon temps et je remets la boucle de mon autre sandale. Je me rassois, il range son portable dans sa poche et s’en va.

    Mon téléphone sonne et je décroche. C’est Coraline et nous parlons un peu de tout et de rien. Je lui demande si elle a bien dormi cette nuit, à ma grande surprise, elle me répond que oui et que c’est mon réveil que je n’arrêtais pas qui l’a réveillée et elle ajoute que c’est Ludo qui l’a éteint. Elle me ment et je me demande pourquoi mais je n’ai pas envie d’en discuter au téléphone.

    Je lui demande ce qu’elle fait ce soir, elle me répond qu’elle est crevée, qu’elle ne sort pas. Je lui dis qu’elle a bien dormi pourtant. Elle me dit qu’elle a eu une sale journée au boulot. Je n’insiste pas, lui dis a+ et je raccroche.

    Je me demande ce qu’elle a car à ma connaissance c’est la première fois qu’elle ne me dit pas la vérité en ce qui concerne Ludo. Elle sait très bien pourtant que ça ne m’ennuie pas et que je ne lui reprocherai jamais de coucher avec lui, que c’est même un jeu pour moi de le savoir et lui faire croire que je ne suis pas au courant.

    Je n’ai plus envie de regarder le petit film qui a d’ailleurs fini pendant que j’étais au téléphone. Je range la carte mémoire et j’ai un frisson. Je vais dans ma chambre mettre ma minijupe salopette en jean et un sweat court. Je reviens vers le salon et la sonnette retentit.

    J’ouvre et je vois Cyril et Elliot. Je leur dis que je sais leur télé est toujours en panne mais j’ajoute que je veux qu’ils partent à 20h00 au plus tard. Cyril me dit que c’est son père qui les envoie m’inviter à aller prendre l’apéritif et il ajoute qu’il me trouve très mignonne et sympa. J’hésite mais accepte. J’espère qu’ils n’ont rien dit ou même montrer les vidéos.

    Je prends mes clés et verrouille ma porte. Je commence à monter l’escalier et les petits malins refont leurs lacets pas défaits. Cyril a pris son portable et filme sous ma jupe. Je suis presque arrivée à l’étage supérieur et je laisse tomber mes clés sur le palier. Je monte la dernière marche, me tourne vers eux et m’accroupis en écartant les cuisses. Je leur souris et me redresse.

    Nous entrons dans l’appartement identique au mien. Le père est dans le salon et met des gâteaux secs dans une coupelle sur la table basse. Cyril me présente et le père commence :

    « Bonsoir Ludivine, moi c’est Claude. On s’est croisé quelques fois mais on ne s’est pas vraiment parlé. Alors c'est vous qui avez sauvé mes fils du drame audiovisuel. Ils ne tarissent pas d’éloges à votre égard. C’est vraiment sympathique de leur avoir permis de regarder leur émission préférée chez vous. Je suis heureux qu’ils n’aient pas choisi une voisine moins séduisante et sexy que vous. Pardon je m’égare et manque à mes devoirs. Asseyez-vous ».  

    Il me montre un fauteuil. Les gamins sont assis dans le canapé et regarde la vidéo dans leur portable. Je dois passer devant eux en pas chassés et en me penchant légèrement en avant car il n’y a pas beaucoup de place pendant qu’il va vers le bar. Deux mains caressent mes fesses et je les chasse rapidement d’un mouvement de bras. Ils ricanent et leur père leur demande pourquoi mais ils ne répondent pas. Il me demande ce que je veux boire et je dis « un whisky ».

    Il ramène les verres qu’il pose sur la table et s’assoit par terre, en tailleur, en face de moi car il n’y a qu’un fauteuil que j’occupe. Je lui demande où est sa femme. Il me dit qu’elle fait des ménages et rentre vers 22h00. Pour attraper mon verre je suis obligée de me mettre au bord du fauteuil et écarter mes cuisses. Je tourne la tête vers les garçons car je n’ose pas le regarder en même temps que je lui exhibe mon minou. Eux le regardent car ils savent ce qu’il va voir.

    Je jette un coup d’œil en coin et le vois se pencher en avant pour prendre son verre, les yeux rivés sur mon minou et il passe sa langue sur ses lèvres. Je me recule au fond de mon fauteuil en gardant mes cuisses écartées juste ce qu’il faut et il se redresse. Nous trinquons.

    Je dois recommencer plusieurs fois ce même mouvement, soit pour poser mon verre sur la table, soit pour prendre des biscuits et à chaque fois il se penche en avant. Notre verre est fini et sans me demander il le prend et va me resservir. Visiblement il veut faire durer son plaisir. Les gamins chuchotent entre eux, mais vu les gestes qu’ils font, ils ont l’air de dire que Claude bande et je suis de leur avis car il a mis la main dans son pantalon en retournant vers le bar.

    Il revient et je me suis avancée au bord du fauteuil pour prendre un biscuit mais cette fois ci je ne me remets pas au fond. Il se rassoit en face de moi. Nous trinquons à nouveau et nous discutons de nos métiers et loisirs. Cyril vient s’assoir à côté de lui, il le prend par le cou et dit à Elliot de venir s’assoir de l’autre côté.

    Je suis surprise mais je ne change pas ma posture, au contraire, je m’avance un peu plus au bord du fauteuil en écartant plus mes cuisses. Cyril filme et Claude est ravi. Il m’avoue que Cyril lui a montré la vidéo et les photos qu’il a prises hier et qu’il espérait que mon amie serait là aussi. Il ajoute que nous sommes 2  belles petites salopes et qu’il veut que je fasse l’éducation sexuelle de ses fils. Je lui demande s’il est sérieux et il me répond que c’est ça ou il porte plainte. Il pousse la table le long du canapé, se met à genoux, m’attrape par les hanches pour me rapprocher au bord du fauteuil, met mes jambes sur ses épaules et commence à me lécher la chatte. Je me place de façon à lui facilité la tâche. Sa bouche et sa langue sont expertes et très vite le plaisir monte en moi. Mon clito est ressorti et mes seins pointent sous les caresses de ses mains qu’il a passé sous mon débardeur. Cyril filme et Elliot se branle. Claude se redresse et enfonce 2 doigts puis 3 dans ma chatte trempée. Claude appelle Cyril et lui dit d’aspirer mon clito avec sa bouche. Puis il appelle Eliott et lui dit de mettre sa queue dans ma bouche. Je suis en plein délire mais je la prends dans ma main,  le branle un peu et commence à le sucer. Claude me défonce la chatte, il a rentré tous ses doigts dans ma chatte et il dit à Cyril de mettre des petits coups de langue sur mon clito. C’est l’extase, je prends un pied d’enfer  et je me tortille dans tous les sens tellement c’est bon. Elliot gicle dans ma bouche et j’avale facilement son sperme juvénile. Claude se met debout, baisse son pantalon et son caleçon et me dit de me mettre à 4 pattes pour me prendre en levrette, Cyril se lève et me présente son sexe pour que je le suce. Claude me tient par les hanches et me lime à grands coups de boutoir. Je prends pied sur pied sans jamais redescendre quand d’un coup il se retire et éjacule sur mon dos et ma jupe en m’insultant. Cyril vient se mettre derrière moi et Claude salive sur mon anus. Il lui dit de m’enculer, il présente son gland au bord de mon petit trou et m’empale d’un grand coup sec, ce qui arrache à lui et à moi un cri de douleur. Très vite il s’agite dans mon cul sous les encouragements de son père et prend rapidement son pied. Il se retire, je m’allonge sur le sol mais Claude me hurle de me relever et de me barrer. Il s’avance et me roule une pelle en malaxant mes seins et dit à ses fils de faire pareil. Cyril me raccompagne à la porte et me dit « à demain ». Je le regarde, souris et lui dit « peut-être ».

    Je suis sous ma douche, il est 21h00 et Ludo n’est pas là. Je pense et repense au deal que Claude m’a proposé. Si j’accepte, ça ne me déplairait pas mais jusqu’où ça va me mener, si je refuse, Coraline et moi, on est mal barrées. Faut-il que je lui en parle ? Et Ludo ? Beaucoup de questions tournent dans ma tête en me séchant. Je mets ma nuisette et vais manger seule dans ma cuisine.

    Je vais m’allonger dans mon canapé, je ferme mes yeux et m’endors. Je suis réveillée par un baiser et une main qui me caresse l’intérieur de la cuisse. C’est Ludo accompagné de Coraline. Ils ont l’air ivre. Je regarde l’heure, il est minuit. Je demande à Coraline ce qu’elle fait là vu qu’elle ne devait pas sortir. Elle me répond qu’elle m’a appelé vers 20h00 mais je n’ai pas répondu alors elle est sortie toute seule au bar et que Ludo y était aussi. Ludo rajoute que des mecs qui pelotaient Coraline sous la table et sous son pull leur ont payé des verres toute la soirée. Ils l’ont sauté dans les toilettes et sont partis. Comme elle était incapable de conduire, il la ramenée à la maison.  « Tu veux la sauter aussi, alors allez-vous coucher, moi je dors Là » et je souris.

    Elle l’attrape par le bras, m’envoie un baiser et l’emmène dans la salle de bain. Je me tourne sur le côté, laisse échappé un petit « aïe » car j’ai mal à mon cul et me rendors.

    « Exhibition pour jeunotsEducation sexuelle »
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter