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Doigtée au bar et partouze le soir
Samedi 26 janvier 2019
Il est 11h00, je demande à Ludo s’il veut bien qu’on aille au bar de Serge car il y a longtemps que j’ai vu William (Petit papy Anglais pervers de 70 ans qui aime caresser mes cuisses). Il me répond que lui est déjà habillé, qu’il n’attend plus que moi. Je cherche, dans mon armoire, et trouve une minijupe en jean et un pull beige à trous. Je mets mes bottines à talons hauts, mon perfecto court et nous partons.
Nous entrons dans le bar, je fais la bise à Serge, sa femme Alice et à quelques clients que nous connaissons. J’aperçois William au bout du bar, je le rejoins, lui fais un bisou et m’assois sur un tabouret que j’avais récupéré en passant. Ludo est resté à discuter du tiercé avec des potes, je suis sûre qu’il en a pour un bon bout de temps. William me demande ce que je veux boire et pose sa main droite sur mon genou. Alice me sers et la main de William remonte sur l’intérieur de ma cuisse en la caressant. Je frissonne et écarte un peu mes cuisses. Sa main est passée sous ma jupe et son auriculaire effleure mon minou. J’attrape son poignet et redescends sa main sur mon genou. Coraline m’appelle pour me dire qu’elle est à notre porte. Je lui réponds que nous sommes chez Serge et Alice. Le temps que je réponde, la main de William est remontée jusque sous ma jupe. Je le laisse faire et son doigt touche à nouveau mon minou. Je redescends sa main.
Coraline est arrivée, elle fait la bise à tout le monde, même ceux qu’elle ne connait pas, prend un tabouret et me fait un bisou sur la bouche. William en a profité pour remonter jusqu’à mon minou. Elle le voit, lui donne une tape sur la main et il la redescend. Elle s’assoit de l’autre côté de William, dos au bar, lui fait la bise et il pose aussitôt son autre main sur sa cuisse. Elle lui dit qu’il va avoir du mal à boire son verre sans ses mains et il lui répond qu’il n’a pas soif pour le moment. Nous rions tous les 3. La main de William est au bord de ma jupe et il me caresse l’intérieur de la cuisse plus fort. Je regarde sa main gauche, elle est sous la jupe de Coraline et lui caresse le minou. Elle a les cuisses bien ouverte, la tête en arrière, les yeux fermés et pince ses lèvres.
J’aurais bien fait la même chose mais je vois Ludo venir vers nous et je repousse la main de William. Ludo voit la position de Coraline, me dit qu’elle a l’air chaude ce midi, qu’il va partir avec un pote pour l’aider à aller chercher un meuble chez Castorama, que je fais comme je veux mais que si je rentrais avec Coraline ça l’arrangerait. Je lui dis que je l’appelle pour le tenir au courant de ce que je fais. Il me fait un bisou et s’en va.
La voir comme ça m’excite et je regarde derrière moi. Il n’y a personne aux tables, je pousse la main de William, fais un demi-tour sur mon tabouret pour me retrouver dos au bar et ouvre mes jambes. William passe sa main sous ma jupe et nous caresse toutes les 2. Son majeur appuie et tourne sur mon clito et je sens le plaisir monter en moi. Mes fesses glissent jusqu’au bord du tabouret, son doigt me pénètre et bouge en moi. Je jouis, je prends son poignet et retire sa main avant de ne plus pouvoir retenir mes gémissements. Nous nous regardons et nous sourions. Je prends une grande inspiration, souffle et me remets face au bar. Mon minou est trempé et mes joues sont en feu.
Je me lève pour aller parler discrètement à Coraline. William commande une tournée pour nous 3 et je chuchote à Coraline que c’est la première fois que je le laisse faire et j’ai pris mon pied. Elle me dit qu’elle aussi a joui, comme chaque fois qu’elle le voit ici et que c’est pour ça qu’elle s’était tout de suite assise dos au bar. Elle ajoute qu’elle va aller aux toilettes dans la cour et qu’il va la rejoindre pour qu’elle lui taille une pipe. Elle se lève, je retourne m’assoir, je trinque avec William, nous buvons une gorgée et il part à son tour dans la cour.
William revient, un pan de sa chemise est en dehors de son pantalon et je lui fais remarquer. Il me remercie, le replace et boit son verre cul sec avant de nous en recommander un autre. Coraline revient quand Serge est en train de nous servir, elle avale son whisky et tend son verre à Serge. William sourit, sifflote et nous tapote les cuisses. Sa main remonte sous ma jupe et mes cuisses s’écartent sans que j’aie la volonté de résister. Son auriculaire vient titiller mon clito et je m’avance sur le bord du tabouret. Il se met alors dos au bar et passe son autre main sous ma jupe. Son majeur et son index appuient et tournent vite, je prends mon pied, retiens mes gloussements en me pinçant les lèvres et en serrant fort mon verre entre mes mains. Pour ne pas crier, je me lève et me dégage sur le côté. Mes jambes tremblent et j’ai du mal à redescendre de mon nuage. Je ne vois pas Coraline à côté de William, je lui demande où elle est et il me répond qu’elle est sortie téléphoner. Je lui fais une bise et sort la rejoindre. Je lui demande de me ramener et lui rappelle que nous allons chez Alain ce soir. Elle me répond qu’elle va me déposer chez moi mais qu’elle ne viendra pas ce soir car elle n’a pas envie de revoir Cédric pour le moment et en plus on vient de l’inviter à une autre soirée qui s’annonce chaude aussi. Je lui souris et nous montons dans sa voiture.
Il est 18h00, je sors de ma douche et Ludo n’est toujours pas rentré. Je vais m’habiller dans ma chambre. J’enfile ma micro robe fuseau en cuir noir à manches longues avec un large décolleté jusqu’au nombril et dos nu jusqu’à la raie des fesses. J’adore cette robe très moulante qui ne cache rien et je mets mes bottines noires à talons hauts. La sonnette retentit et je vais ouvrir. C’est Luc qui ramène Ludo complètement bourré, incapable de marcher. Je l’aide à le soutenir pour l’emmener se coucher sur le lit et lorsque je me penche pour allonger Ludo ma robe remonte à mi- fesses. Luc, qui a pris du recul pendant ce temps-là, profite de la vue et me dit que Ludo est vraiment con de louper ça. Je rajuste ma robe et lui répond qu’il a raison car je voulais lui faire une belle surprise. Je lui demande s’il veut prendre un verre. Il me répond que ça aurait été avec plaisir mais sa femme l’attend dans la voiture. Je le remercie d’avoir ramené Ludo et le raccompagne à la porte. Je lui fais la bise, sa main droite me caresse les fesses et sa main gauche passe dans mon décolleté pour malaxer mon sein. Je reste sans réaction, on se roule une pelle et il me dit à bientôt j’espère.
20h00, Alain m’ouvre, me roule une grosse pelle et est étonné de ne pas voir Coraline et Ludo. Je lui explique pour Ludo, lui dis que Coraline a eu un empêchement et il me débarrasse de mon manteau. Nous dirigeons vers la salle sa main posée sur mes fesses et à ma grande surprise, il y a 4 hommes que je ne connais pas et je ne vois pas Cédric. Je m’arrête sur le pas de la porte et pense que la soirée risque d’être très chaude. Alain me dit « Ludivine, je te présente mes frères, Maurice, Frédéric, Serge et Olivier ». Olivier qui semble le plus jeune, environ la quarantaine, se serre la bite à travers son pantalon et la secoue. Je leur fais la bise, leurs mains se baladent sur mes fesses. Je vais rouler une pelle à Sylvain et attrape sa queue pour vérifier qu’il ne porte rien dessous. Les 4 frères d’Alain, impatients, viennent m’entourer et me caressent. Même si c’est délicieux, je leur demande de me laisser un peu de temps. Alain vient à mon secours en demandant à tout le monde de passer au salon pour prendre l’apéritif.
Sylvain s’assoit dans un fauteuil et, pour être sûre que la soirée commence en douceur, je m’assoie sur ses genoux. Les frères sont déçus et prennent place dans le canapé et l’autre fauteuil. Alain arrive avec une desserte où il a posé verres et bouteilles. Il nous sert tous un verre et nous dit qu’après chacun se sert. Sylvain a passé sa main dans mon décolleté et roule mon téton qui pointe entre son index et son majeur. Il a fini son verre et me demande pour le resservir. Je me lève, ma robe ne cache plus rien de mon intimité et je me dirige vers les bouteilles. Olivier vient se mettre à côté de moi et veut me caresser le minou. J’attrape son poignet pour le stopper et lui demande d’attendre la fin du deuxième verre.
Mon verre est fini, je me lève, vais au milieu du salon et, en commençant à enlever ma robe, je dis « tout le monde à poil ». Aucun n’a rechigné et ils arrivent les uns après les autres, Olivier en premier, pour me caresser et rouler des pelles. J’ai maintenant 12 mains qui me caressent le corps, fouillent mon cul et ma chatte et 6 queues en érection que je branle. Je m’accroupis, jambes écartées pour les sucer et Alain, le spécialiste de la langue, passe sous moi pour me lécher. C’est la volupté et je me laisse tomber en arrière pour m’allonger.
Ça fait 2h que je prends pied sur pied sans jamais redescendre en branlant, suçant, me faisant prendre la chatte, le cul, 4 fois les 2 en même temps mais tout en douceur sous la bienveillance de Sylvain et Alain. Je demande un peu de répit pour aller prendre une douche car il y en a toujours 1 ou 2 qui bandent dès que j’ai un trou de libre. C’est Sylvain qui endosse le rôle de mon garde du corps pour stopper leurs ardeurs bien qu’il soit en érection. Il propose qu’ils prennent tous un verre et je peux aller à la salle de bain. Je regarde l’heure, il est 23h30, avant de passer sous la douche, je vérifie sur mon portable si j’ai eu un appel de Ludo mais rien. Je prends longuement ma douche pour bien retrouver mes esprits, me sèche et retourne au salon.
Je regarde l’heure en passant, 0h15, je vois les 4 frères tassés dans le canapé, me sers un verre et vais m’allonger sur leurs cuisses. Ils sont ravis, surtout Olivier car j’ai la tête de son côté. Le plus déçu est Maurice car il a mes pieds. Frédéric et Serge commencent à me caresser les fesses et le dos. Je bois une gorgée et je vois se dresser la queue d’Olivier devant moi. Je le caresse et le suce, la sonnette retentit et Alain se lève pour aller voir. Je me suis mise à genoux sur les cuisses de Frédéric qui me caresse le minou, Serge me masse les seins et je continue de sucer Olivier. J’entends la voix de Ludo « Je vois que tu ne t’ennuies pas, Ludivine. Je suis venu parce que je m’en voulais de t’avoir laissée venir toute seule. Je pensais que tu te faisais chier mais je constate que non. Je pense que tu as assez de queues pour toi ce soir. Prends bien ton pied. A demain. » Il fait demi-tour et s’en va. Alain lui propose de boire un verre, il hésite, réfléchit, accepte et commence à se déshabiller. Alain et Sylvain le félicitent de sa réaction et je recommence à sucer Olivier en pensant « 2 mains et 1 queue de plus ». Ludo vient se mettre debout à côté de moi, la queue en érection, me dit de me mettre à genoux devant Olivier pour me prendre en levrette car il a sûrement du retard par rapport aux autres.
Ils semblent tous avoir les couilles vides et je me dirige vers la salle de bain. Je suis épuisée mais comblée car je n’avais jamais joui aussi longtemps sans arrêt. Je regarde l’heure, il est 5h30 et je comprends mieux pourquoi. J’ai du sperme qui coule le long de mes cuisses et j’en ai plein le corps et les cheveux. Je me précipite sous la douche car l’odeur commence à m’incommoder. Ma douche est terminée, je sors de la salle de bain et j’enfile mon manteau sans remettre ma robe car j’ai des frissons. Je retourne au salon et je croise Sylvain. Il me roule une pelle, me dit que j’ai été fantastique et rentre dans la salle de bain. Je rentre dans le salon, demande à Maurice de me laisser sa place et m’avachis dans le fauteuil jambes et bras écartés. Alain me demande si je veux quelque chose, je lui réponds « un double whisky ». Ludo vient se mettre à genoux entre mes jambes, passe ses bras autour de ma taille, pose sa tête sur mon ventre et dit qu’il m’adore. Je lui dis que j’ai passé une nuit superbe et je le remercie d’être resté. Il me répond qu’il a adoré me voir jouir comme une salope baisée par toutes ces queues. Il se redresse et me roule une grosse pelle en malaxant mon sein gauche puis il s’assoit par terre entre mes cuisses sur lesquelles il dépose des bisous. Les autres continuent le défilé dans la salle de bain, ont des mots sympas pour dire à Ludo qu’il a une femme d’enfer et qu’il ne faut pas qu’il la lâche. Je pense que maintenant je n’aurai plus besoin de me faire sauter à la sauvette dans son dos et que ce sera mieux pour moi mais aussi pour lui. Je lui demande de me resservir un double car là c’est moi qui aie du retard sur les autres. Je remarque que j’ai beau être nue sous mon manteau, jambes et bras écartés, il n’y en a pas un qui bande et ça me prouve que j’ai bien dû les vider. Les frangins se montrent les vidéos qu’ils ont faites avec leurs portables et se félicitent ou se charrient. Ludo va à la salle de bain, les frangins viennent me rouler des pelles en me caressant les seins et me disent que je suis super bonne avant de saluer Alain et Sylvain pour partir. Ludo revient habillé et me demande si je veux mettre ma robe pour rentrer. Je lui réponds que non car comme ça je n’aurai que mon manteau à enlever pour me coucher. Je demande par curiosité à Alain l’âge de ses frères. Il me répond Maurice 51, Serge 43, Frédéric 40 et Olivier 37. Je lui roule une pelle, il m’enlace et me malaxe les fesses car je n’ai pas encore boutonné mon manteau. Je roule une pelle à Sylvain qui fait pareil pendant que je serre sa queue à travers son pantalon. Elle commence à épaissir dans ma main et il me souffle « coquine » à l’oreille. Ludo leur serre la main et nous partons mon manteau grand ouvert. Je suis heureuse, euphorique, comblée et je pense que je vais bien dormir. Ludo me demande si je n’ai pas froid, je lui répond que non et enlève mon manteau pour me retrouver nue avec des bottines à talons hauts dans la rue. Un papy qui promène son chien doit me prendre pour une folle quand j’arrive en face de lui. Pour en rajouter, en arrivant à côté de lui, je m’arrête pour rouler une grosse pelle à Ludo qui me soulève en écartant mes fesses. Nous montons dans la voiture en nous éclatant de rire et partons. Sur la route j’avoue à Ludo que ses potes Éric, Philippe et Laurent n’allaient pas aux toilettes pour se branler mais venaient se faire sucer ou me sauter. Je lui dis aussi que je me suis fait sauter par le vieux sur le billard et les 4 jeunes, le barman et le videur à la portière de la voiture, mais que tout ça c’est de ma faute car je ne peux pas m’empêcher d’allumer et d’exciter les hommes, mais aussi, que s’il était moins souvent bourré, il se rendrait compte de certaines choses. Il me sourit, me dit qu’il est content que je lui dise, même si c’est un peu tard, mais qu’à l’avenir il sera plus attentif quand il y aura un homme avec nous. Nous sommes arrivés, je sors nue de la voiture et enfile rapidement mon manteau que je ne boutonne pas mais maintiens fermer. La porte du hall franchie je le lâche grand ouvert quand je m’aperçois qu’un de nos voisins arrive en face de moi. Sans le refermer, je lui dis bonjour et sans attendre sa réponse je me précipite dans les escaliers. J’ouvre ma porte d’entrée, fonce dans ma chambre, jette mon manteau au sol et me couche. Ludo rentre, se déshabille, se couche et me dit qu’il a croisé un voisin qui lui a dit que j’étais canon. Comme je lui tourne le dos, je ne lui réponds pas et feins de dormir.
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