• Dimanche de baise

    Dimanche 17 Février 2019

    Je me réveille seule dans mon lit, il est 10h00, je suis en pleine forme après ces 12 heures de sommeil, j’enfile mon T-shirt et vais me préparer un expresso en chantonnant. Je vais au salon le boire assise dans mon fauteuil alors que Ludo et Sarah dorment dans le canapé. Il ronfle et, vu leur position, je vois qu’il la pénètre toujours et qu’il a des petits mouvements de bassin. Elle dort, sa main droite agrippée au coussin et elle sourit. Elle doit être en train de faire un superbe rêve érotique et je ne fais pas de bruit en allant me refaire un café. Je reviens sur la pointe des pieds avec mon café et la caméra car je les trouve très beaux. Je commence à les filmer et elle ouvre sa bouche pour laisser échapper un petit gémissement. Je filme son visage en gros plan, elle est magnifique, sa langue passe sur ses lèvres et son bassin ondule maintenant. Je me recule et élargis le plan. Il ronfle toujours mais sa main droite malaxe son sein et elle halète légèrement. Je me rapproche et mets mon index dans sa bouche. Elle l’aspire et sa langue tourne doucement autour. Je la réveille car je me suis cogné les orteils sur le pied de la table et je ne peux retenir mon cri de douleur. Sarah a sursauté, s’est assise sur le canapé et me demande si je vais bien. Je souffre, je boitille mais dis que ça va passer. Elle s’agenouille devant moi, me masse les orteils, me dis qu’elle était en train de jouir en rêve et que sa chatte est trempée. Je lui dis que je suis désolée et qu’elle branche la caméra à la télé. Ma souffrance n’a pas réveillé Ludo qui a une grosse trique et Sarah se doigte en regardant les images. Je lui renouvelle mes excuses et lui conseille de le sucer pour le réveiller avant d’aller sous la douche.

    Il est 11h00, je sors de la salle de bain et j’entends Sarah qui prend un pied très sonore. Je décide de prendre mon temps pour m’habiller et fais plusieurs essayages. 11h30, Sarah va à la douche et je décide de garder ce que j’ai sur le dos. Mini jupette de tennis très légère et corsage blanc transparent ouvert noué à la taille. Je rejoins Ludo qui regarde le film d’une de mes exhibitions à la terrasse d’un café. Elle semble lui plaire car il a déjà une nouvelle érection et je m’agenouille devant lui pour le sucer. Il me dit de regarder avec lui et de m’empaler sur sa queue. Je n’hésite pas un instant, m’exécute et ondule lentement du bassin pendant qu’il me titille le clito.

    Je suis assise seule à une table en minijupe en lycra noire et top façon boléro en dentelle noire transparente. Ludo est attablé en face légèrement décalé et 3 jeunes, 16 ans environ, sont à la table d’à côté de lui juste en face de moi. Au début, j’ai les jambes croisées ce qui fait automatiquement glissé ma jupe vers le haut jusqu’à découvrir mon minou mais ils ne peuvent pas le voir. On entend leurs commentaires disant que je suis bonne, qu’ils aimeraient bien me peloter les seins et que le serveur doit avoir la gaule quand il vient prendre ma commande. Je décroise et recroise mes jambes et on entend un des gamins dire « vous avez vu les gars, je crois qu’elle n’a pas de culotte ». Ses copains se moquent de lui et lui disent qu’il délire. Ludo tourne la caméra vers eux et on les voit scruter, dans ma direction, mes moindres mouvements. Le barman me ramène mon verre, il me fait la conversation et je me rappelle que ses yeux étaient fixés sur mes seins. On entend « regarde le salaud il en profite ».

    Je mets sur pause car j’ai envie de jouir et je me déchaine en accélérant mes coups de reins. Ludo me prend par les hanches et m’aide à coulisser sur sa bite. Je prends mon pied et Ludo,  qui ne veut pas jouir tout de suite, me maintient immobile sur lui. Je ne peux pas m’empêcher de me déhanché doucement et il remet le petit film.

    Le barman retourne à l’intérieur, je décroise mes jambes et les écarte un peu pour ramasser mon sac au sol. « Je vous l’avais dit qu’elle n’avait pas de culotte la salope » « T’as raison, quelle pute ! » « Elle me file la gaule la coche »  « Il faut que j’aille voir de plus près, je vais aux chiottes » « profites en pour te branler »  « Connard ». Il se lève sans quitter mon minou des yeux, je recroise mes jambes, son regard remonte sur mes seins qui pointent, il me dévisage les yeux exorbités et je lui souris. Il a mis sa main dans sa poche et maintient sa queue pour la cacher. « Ah !putain, elle est vraiment trop bonne cette coche » « Tu crois qu’elle sait qu’on la mate ? » «  C’est sûr, elle en fait exprès de nous allumer, je vais la filmer » «  Oh merde ! Elle me file la gaule la coche ». Comme prévu, Ludo laisse la caméra tourner sur sa table et s’avance vers moi. Je décroise mes jambes et il s’arrête près de moi pour me parler. « Elle l’a bien allumé, elle cache même pas sa chatte ». Je mets ma main en visière sur mon front et il s’accroupit en posant ses mains sur mes cuisses. « Ouah ! Il va se la faire la coche ». Il passe sa main gauche sur l’intérieur de ma cuisse et je les écarte un peu plus. « Elle en veut la petite pute ». Le jeune sort du bar et, voyant Ludo, il s’arrête sur le pas de la porte pour mater et allume une cigarette. La main de Ludo me caresse tendrement et remonte très haut sur ma cuisse. « Vas-y mec, doigte la ». Le jeune essaye de placer sa queue dans son pantalon, les doigts de Ludo viennent effleurer ma chatte et j’écarte un peu plus. « Il la doigte ou pas ? » « Je zoome mais je ne vois pas ». Ludo se redresse, je me lève, ma jupe est remontée jusqu’au milieu de mon cul et je reste quelques secondes à m’exhiber. Je me tourne pour leur montrer mon cul, me baisse pour ramasser mon sac et redescend ma jupe. « Il faut que je montre ça aux potes ». Ludo va récupérer la caméra, je l’accompagne et je souris aux ados. L’autre nous a emboîté le pas et passe derrière moi. Je sens l’extrémité de ses doigts sur la peau nue de la base de mes fesses qu’il presse et je roule une grosse pelle à Ludo. Nous nous éloignons et Ludo remonte ma jupe jusqu’à la taille. Je me rappelle que les jeunes nous ont suivis, je tournais la tête de temps en temps vers eux et j’ai constaté qu’ils nous filmaient. J’avais toujours ma jupe relevée jusqu’à la taille, je faisais des demi-tours pour marcher à reculons et rouler des pelles à Ludo. Nous sommes allés dans un sous-bois et avons fait l’amour dans l’herbe. Je les ai vus se branler et j’ai exagéré mes cris de jouissance pour qu’ils les entendent bien.

    Je suis super excitée et je recommence à coulisser sur la queue de Ludo. Je remonte très vite dans les tours quand Sarah arrive affolée dans le salon. Ça ne m’arrête pas, je jouis, elle nous dit qu’il faut que Ludo l’emmène car elle a reçu un message inquiétant de sa mère. Elle s’excuse mais insiste en ajoutant que son père vient d’être emmené en urgence à l’hôpital. Je prends mon pied et dans un langage haché je dis à Ludo de l’emmener, qu’on se finira après. Je me dégage et laisse Ludo avec sa gaule dégoulinante de cyprine. Il enfile son pantalon sans caleçon, son T-shirt, ses chaussures sans chaussettes et ils partent. Il est 13h00, je n’ai pas vraiment faim mais j’ai un petit creux alors je vais me chercher une pomme dans la cuisine. Je reviens au salon, mets un CD d’ACDC et m’assoit en tailleur dans le fauteuil. Je mange ma pomme en me titillant machinalement le clito. La sonnette retentit, je vais voir au judas et reconnais Georges. Je ne sais pas quoi faire, je n’ose pas lui ouvrir et il sonne à nouveau. Je retourne au salon, prends la caméra, la mets en marche et la pose sur la table de salon. Je vais à la pour lui ouvrir, Il clenche et ouvre. Il me regarde avec ses yeux lubriques et me demande où est Ludo. Je lui réponds qu’il ne va pas tarder à revenir, il me plaque contre le mur en me maintenant les poignets au-dessus de la tête d’une seule main et me doigte avec l’autre. « Tu mouilles toujours autant petite pute ». « Ne me faites pas de mal, Georges, je vous en supplie, je ferai ce que vous voudrez, mais ne me faites pas de mal ». Il m’astique avec ses doigts, les retire et dégrafe son pantalon qui tombe à ses pieds. Il m’oblige à m’agenouiller devant lui et me libère les mains. Je baisse son caleçon et sa longue queue raide vient claquer sur ma joue. « Suce-moi, pouffiasse ». Je le décalotte, aspire son gland et fait tourné ma langue autour. Il enroule sa main dans mes cheveux, me baise la bouche à grands coups de reins jusqu’au fond de ma gorge et j’ai des hauts de cœur. Il m’envoie au sol et me dis de marcher à 4 pattes jusqu’au salon. Il se met derrière moi et me prend sauvagement en claquant mes fesses. Je sens bien sa queue qui me défonce la chatte à grands coups de boutoir mais ça ne me procure aucun plaisir. Je reste stoïque, espérant qu’il éjacule rapidement, et crie uniquement lorsqu’il me claque les fesses. « T’aimes ça, hein, Salope ? » « Oui Georges » « Alors dis-le » « Oui, Georges, c’est bon, encore, t’arrêtes pas, encore, hum ! Oh oui ! C’est bon, continue, oui, comme ça, je jouis, hum ! ». Il enfonce 2 doigts en plus dans ma chatte et me dis qu’il va m’enculer. Il met ses 2 doigts dans mon petit trou et  présente son gland. Sans ménagement, il m’encule d’un coup jusqu’à la garde et je hurle de douleur. Ludo ouvre la porte d’entrée, se précipite sur lui, le fait tomber au sol, le chevauche à genoux et arme son poing. Je lui crie de ne pas faire ça, il s’arrête et se relève. Georges veut se justifier en disant que je l’ai provoqué, Je m’avance vers lui, le claque en disant que c’est un taré qui m’a violé et lui balance un coup de genou dans les couilles. Il se roule au sol en se les tenant, je me tourne vers Ludo et lui dis que lui, il n’avait pas le droit parce que c’était son père mais moi, je pouvais. Il lui dit de se relever, Georges me traite de salope, il est plié en deux et se rhabille. Ludo le prend par le bras et le vire dehors. Il revient vers moi, prend mon visage entre ses mains et me fait des petits bisous tout tendres. Il essuie les larmes sur mes joues et m’enlace. Je prends la caméra et lui dis que j’ai tout filmé. Il la branche sur la télé et regarde les images. J’ai les mains qui tremblent nerveusement et m’allonge sur le canapé pour me calmer. Il s’assoit à côté de moi, pose sa tête sur ma poitrine et je passe ma main dans ses cheveux. Je ferme les yeux, soupire, il dénoue mon corsage et me caresse délicatement les seins qui se mettent à pointer. Malgré la douleur que je ressens toujours, j’apprécie ces attouchements et guide sa tête pour qu’il suce mes tétons. Il descend lentement sur mon ventre en me léchant puis sa langue vient titiller mon clito. Je replie mes jambes en les écartant et il vient s’installer entre mes cuisses pour me lécher. Je lui demande de me faire jouir uniquement avec sa bouche et sa langue, il relève les yeux, sourit et aspire mon clito pendant qu’il me donne de rapides coups de langue. Je lui maintiens la tête sur ma chatte car je sens que je vais jouir et ne veux pas qu’il arrête. Son téléphone sonne, il veut se relever pour répondre mais je le retiens. La sonnerie a cessé mais reprend aussitôt alors je le laisse se relever et regarde la pendule, il est 15h00. Il regarde et me dit que c’est le numéro de ses parents. Il décroche, dit « oui maman » et va parler dans la chambre. Il revient furieux, dit qu’il va lui piéter la gueule, prend la caméra et sort avant que je n’ai pu lui dire un mot. Je m’assois dans le canapé, mes mains tremblent à nouveau, je les croise et les tord dans tous les sens. Je m’adosse, penche ma tête en arrière, ferme les yeux et m’efforce de respirer profondément. Je commence à m’assoupir et la sonnette retentit. Je sursaute et regarde la pendule, il est 16h00. Je me précipite à la porte et regarde au judas. C’est Axel, j’ouvre sans avoir renoué mon corsage, il me prend dans ses bras, me roule une grosse pelle et me demande ce qui s’est passé. Je ferme la porte au verrou et lui explique en retournant au salon. Nous sommes debout, il me tient les mains et m’écoute. J’ai fini, il m’enlace me roule une pelle et ses mains se baladent sur tout mon corps. Je suis encore très excitée, j’agrippe sa queue à travers son pantalon et l’emmène dans la chambre en lui roulant des pelles. Je me mets en levrette sur le lit et lui dis qu’il me prenne tout de suite en douceur. Il baisse son pantalon, lubrifie son gland dans ma mouille abondante et me pénètre lentement jusqu’à la garde sans difficulté. Dès ses premiers va et vient, je sens le plaisir monter en moi et je m’agrippe au drap. Je jouis très vite et très fort, c’est l’extase et il inonde ma chatte de plusieurs giclées de foutre bien chaud. Il se retire, je m’allonge sur le ventre et lui, sur le dos, à côté de moi. On clenche à la porte, je me relève très vite, lui dis de foncer au salon et je m’enferme dans les toilettes. J’entends le verrou tourné et j’espère que Ludo ne va s’apercevoir de rien. J’attends un peu et me glisse dans la salle de bain. Je reviens au salon, il est 17h30, les frangins boivent un whisky dans le canapé et Ludo montre la vidéo à Axel. Je lui demande comment ça s’est passé et il me répond qu’on en parlera plus tard. Je vais me servir un verre et m’assois dans mon fauteuil en mettant ma jambe sur l’accoudoir car j’aimerais bien qu’ils me sautent tous les 2. Ludo ne me regarde pas et discute avec son frère. Axel jette quelques coups d’œil rapides mais semble gêner de la situation. Je le taquine en me caressant le téton du bout du doigt et en passant ma langue sur mes lèvres quand il me mate. Je m’assois différemment de façon qu’il n’y ait qu’Axel qui voit ma chatte. Je lui demande s’il veut bien me resservir, il prend mon verre, se lève et comme il n’a pas de caleçon, je me régale à mater son énorme érection. Ludo va aux toilettes, Axel me ramène mon verre et je le caresse à travers son pantalon. Je lui mordille sa hampe et, comme j’entends Ludo revenir, je lui dis de se rassoir et mater. Ludo entre dans le salon, il est nu et dit que je mérite que l’on fasse un câlin à 3. Il s’approche de moi, je prends sa queue en main pour le sucer et il encourage Axel à nous rejoindre. Axel baisse son pantalon, sa queue se plaque sur son ventre et remonte jusqu’à son nombril. Ludo rigole et dit, qu’apparemment, il en avait très envie aussi. Il ajoute en s’adressant à Axel « Viens te faire plaisir et en donner beaucoup à ma coquine Ludivine qui souffre». Il s’approche et je les branle tous les 2. Je ne peux m’empêcher de comparer leurs sexes et constate qu’ils sont exactement  aussi gros et aussi longs. Je m’agenouille dans le fauteuil, m’appuie sur le dossier et demande à Ludo de me prendre maintenant car je suis trempée. Il lubrifie son gland dans ma fente et me pénètre lentement jusqu’à la garde. J’attrape la queue d’Axel et l’amène derrière le fauteuil pour pouvoir l’astiquer et le lécher. Je prends mon pied très vite, Ludo me tient par les seins et me lime avec douceur. Il pose sa main droite sur ma chatte et fait des ronds en appuyant sur mon clito. Son téléphone sonne, il se retire et dit à Axel de prendre sa place car il ne veut pas que je redescende de mon nuage. Il décroche, dit qu’il arrive et va dans la chambre. Axel a pris la même position et fait les mêmes gestes que son frères et je laisse échapper des gémissements de plaisir. Ludo vient me rouler une pelle, il bande encore dans son pantalon déformé par sa gaule, me dit qu’il va chercher Sarah et dit à Axel qu’il compte sur lui pour que je prenne un énorme pied. Ludo sorti, Axel me dit « Je suis fou de toi, tu hantes mes jours et mes nuits, je m’endors et me réveille avec la trique, tes copines sont super mignonnes mais c’est toi que je veux, je t’aime, je t’adore ». Ses mots et sa bite me font monter au septième ciel et ce ne sont plus de gentils gémissements qui sortent de ma bouche. Il éjacule en moi dans un râle profond, serre ses bras autour de ma taille, me fais des bisous sur les épaules et continue de petits va et vient dans ma chatte. Je sens sa queue ramollir en moi et je lui dis de se retirer pour que je passe à la douche. Il m’accompagne et se lave la queue au lavabo. Il me dit « Je suis désolé, je n’aurais pas dû te dire ce que je ressens pour toi, je n’ai pas le droit, tu es la femme de mon frère et, même s’il permet que je te baise, je ne peux pas tomber amoureux de toi ». Je ne sais pas quoi lui répondre, je reste réfugiée sous ma douche et il finit par sortir de la salle de bain.

    J’entends Sarah et Ludo rentrer et elle va dans la chambre. Je la rejoins et lui demande ce qu’elle pense d’Axel. « Beau gosse, bien membré, un peu jeune mais doué pour le sexe ». Je lui dis qu’il m’a avoué être amoureux de moi et lui demande de tout faire pour qu’il le devienne d’elle. Elle me répond et, elle n’a pas tort, qu’on ne guide pas les sentiments mais qu’elle va tout faire pour essayer d’accaparer ses pensées. Elle enfile notre petite robe super sexy et va au salon. J’attends quelques minutes, me rhabille et les rejoins. En entrant dans le salon, je constate avec plaisir que Sarah s’emploie à user de tous ses charmes pour susciter l’attention d’Axel. Elle est assise en travers sur ses cuisses dans le fauteuil et caresse son torse. Il a son verre dans une main et l’autre se balade sur l’intérieur de sa cuisse. Il me suit du regard quand je me dirige vers le bar, elle met la main dans son cou et lui roule une pelle en tortillant du cul. Je m’assois dans l’autre fauteuil, il ne me quitte pas des yeux, je croise mes jambes et sa main remonte vers la chatte de Sarah qui se cambre et ferme les yeux. Ludo est assis, les mains croisées, les coudes sur les genoux et est perdu dans ses pensées. Axel doigte Sarah en me regardant dans les yeux. Elle gémit et son corps se tend. Je décroise mes jambes et me caresse en soutenant son regard. Il pose son verre, se lève en la portant et l’emmène dans la chambre. Sarah s’accroche à son cou et me sourit en passant à côté de moi. Il est 20h00, je demande à Ludo de me parler mais il reste muet. Je prends nos verres et vais nous resservir. Je suis au bar, il vient derrière moi, m’embrasse dans le cou et me caresse les seins et la chatte. Il me dit qu’il m’adore et ne veux pas que cette histoire brise notre couple. Je me mets face à lui, lui dis que, rien ne peut nous séparer, je l’aime et lui roule une pelle. Il continue de me caresser et je sens le désir monter en moi mais aussi une petite gêne douloureuse. Je lui demande d’arrêter et d’aller rejoindre Alex et Sarah.

    Je déguste mon verre, j’entends Sarah crier son plaisir et Curieuse, je vais entrouvrir la porte de la chambre. Ludo est allongé au bord du pied du lit, les pieds au sol, Sarah le chevauche et Axel l’encule vigoureusement. Elle est déchaînée et en demande encore et encore. Axel se retire, Ludo l’encule à son tour et Axel revient lui pénétrer le cul. Ils lui défoncent le cul et elle adore ça. Elle hurle de plaisir maintenant et ma cyprine inonde ma chatte. Axel se retire à nouveau, elle se retourne toujours empalée sur Ludo, elle écarte les cuisses et Axel lui prend la chatte. Si je n’avais pas mal, j’adorerais être à sa place, ma chatte est trempée et je fais des ronds en appuyant sur mon clito. Elle en réclame encore, Ludo se retire de son cul et rejoint Axel dans sa chatte. Je jouis et pour ne pas me faire remarquer je referme la porte. Elle se prend un super pied pilonnée par de bêtes de sexe, je l’envie mais me dis que mon tour viendra et j’espère bien qu’ils me réserveront le même sort. Il est 21h30, je m’allonge dans le canapé, je ferme les yeux et, à ses commentaires hachés et bruyants, j’imagine ce  qu’ils lui font. Il est 22h00, elle gémit moins fort et je l’entends aller à la salle de bain. Les hommes sont restés dans la chambre et je finis par m’endormir.

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