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Baise avec le père et les frères de Ludo
Samedi 16 Février 2019
Je me réveille, il est 10h00 passé, Coraline à son bras autour de ma taille et Sarah est à côté d’elle. Je me lève sans bruit et vais me préparer un expresso à la cuisine. J’entre dans le salon mais toutes les places assises sont occupées. Ludo est allongé dans le canapé dans les bras de Roxane, Mélanie est vautrée sur ses jambes, sa queue en érection fortement serrée dans sa main. Il est endormi mais il ondule légèrement du bassin pour y faire coulisser sa bite. Sabrina et Elodie sont recroquevillées chacune dans un fauteuil et je retourne m’attabler dans la cuisine en pensant que le pauvre Ludo a dû se sacrifier pour toutes les satisfaire avant de s’endormir. Je souris en l’imaginant fourrer toutes ses petites chattes en chaleur et vais me doucher.
Je sors de la salle de bain et réveille Ludo. Il s’étire, Roxane et Mélanie ouvrent les yeux et Mélanie commence à le branler. Il est déjà 10h45, je dis à Ludo qu’on va être en retard, il se lève avec Mélanie toujours accrochée à son sexe et ils vont à la salle de bain. Je vais dans ma chambre pour m’habiller, Coraline et Sarah dorment toujours et je choisis mes fringues. Minijupe plissée écossaise ras des fesses et sweat blanc qui s’arrête sous les seins. Je mettrai mon long manteau et mes escarpins blancs à hauts talons pour sortir. Je vais à la salle de bain me coiffer et me maquiller légèrement. Ludo est en train de baiser debout sous la douche avec Mélanie. Je finis mon maquillage et lui dis qu’il est presque 11h30. Elle gémit de plaisir et il lui donne encore quelques coups de reins rapides et forts avant de pousser son râle de jouissance. Il est 11h45 nous partons et laissons les filles, qui se réveillent une à une, à l’appartement.
Ludo sonne à la porte et Georges, son père, nous ouvre. Il pose aussitôt son regard malicieux, voir pervers, sur moi et fait la bise à son fils. Je m’avance vers lui, il pose sa main sur ma taille dénudée et m’embrasse à mon tour pendant que Ludo se dirige vers la salle à manger. Il fait un quart de tour, m’encourage à avancer en tendant son bras gauche et laisse glissé sa main droite sur ma fesse avant de fermer la porte. Je ne dis rien mais je suis étonnée car, en 2 ans, il n’avait jamais osé un tel geste. Il me prend par la taille et pose sa main à moitié sur ma hanche et à moitié sur ma fesse pour m’accompagner. Il retire sa main lorsque nous entrons dans la salle et je fais la bise à Johann qui, lui, pose ses 2 mains ouvertes sur ma taille, ses pouces passant sous mon sweat pour effleurer la naissance de mes seins. Annie, la mère, n’est pas très en forme et est assise dans son fauteuil au salon. Je vais la saluer, Ludo et Johann vont rejoindre Axel à la cuisine. Georges s’est assis dans son fauteuil en face de celui de sa femme. Je suis obligée de me baisser pour faire la bise à Annie et offre un joli spectacle à Georges. Mon sweat baille vers le bas et laisse apparaitre mes seins. Ma jupe remonte à mi- fesses et il peut voir mon petit abricot. Annie me retient penchée en avant car elle me raconte ses malheurs en me tenant les mains, je tourne la tête vers Georges et lui souris. Il a les yeux écarquillés, il articule un mot sans bruit et je devine qu’il dit « salope ». Je m’accroupis alors devant Annie pour le priver de profiter plus longtemps de mon anatomie. Ludo et Johann arrivent au salon avec les verres et les bouteilles et je vais dire bonjour à Axel dans la cuisine. Il me roule une pelle fougueuse et passe ses mains sous mon sweat et ma jupe pour me malaxer les seins et les fesses. Il me dit qu’il n’a pas beaucoup dormi et qu’il attendait avec impatience mon arrivée. Il me roule une nouvelle pelle, ses mains se perdent sur mon corps, je pose ma main sur son sexe en érection et m’aperçoit qu’il porte son string éléphant sans caleçon. J’ouvre sa braguette et le branle. Il m’assoit sur le rebord de la table et me doigte. Les appels des autres nous arrêtent, je prends un sopalin pour essuyer mes cuisses et ma chatte et je retourne au salon avec un large sourire et un plateau rempli de petits fours chauds. Je fais la distribution en me penchant, offrant mon cul et mes seins à la vue de Georges. Je pose le plateau sur la table, m’assois dans le canapé et mets ma tête sur l’épaule de Ludo, le cul tourné vers son père. Je l’observe du coin de l’œil et le vois prendre appui sur son coude pour se pencher légèrement pour mieux mater. Axel entre au salon et s’arrête derrière le fauteuil de Georges. Il voit ma position et comprend de suite que j’exhibe mon cul à son père. Je lui souris et il lève son pouce pour approuver. Il prend un verre et s’assoit par terre en tailleur en face de moi. Je me redresse, au grand dam de Georges, et avance mes fesses, jambes légèrement écartées, vers le bord du coussin. Axel ne quitte pas mon minou, encore luisant de mouille, des yeux et passe sa langue sur ses lèvres. Ludo, qui s’est aperçu de mon jeu, passe sa main sous mon sweat, me caresse le dos, me chuchote que je vais le faire jouir dans son pantalon et je lui susurre à mon tour que son père doit pas en être loin non plus. Il me regarde d’un air étonné puis se penche pour voir Georges en train de mater mon cul car je me suis penchée sur le côté, en croisant mes cuisses, pour lui parler à l’oreille. Sa main remonte mon sweat et dévoile la naissance de mon sein gauche, jusqu’à mon mamelon. Georges semble à l’étroit dans son pantalon, pose son verre vide sur la table et file aux toilettes. Je me remets jambes écartées face à Axel et Johann nous ressert un verre en jetant un œil insistant sous ma jupe. Georges revient et visiblement il ne s’est pas branlé mais à replacer sa queue qui déforme beaucoup son pantalon. Il reste un bon moment debout face à moi, je ne peux détacher mon regard de la proéminence et je comprends que ses fils auront au-moins hérité ça de lui. Il semble fier de me montrer l’effet que je produis sur lui et s’assoit. Annie, fiévreuse, a du mal à lutter contre le sommeil et nous dit qu’elle va s’allonger.
Je me retrouve seule au-milieu de 4 mâles en rut et bien membrés. Ma chatte mouille de plus en plus et je sens mon clito qui gonfle et jaillit de ma fente. Ludo m’allonge sur ses cuisses et relève mon sweat pour me caresser les seins. Je pose une jambe sur le canapé, Georges s’agenouille entre mes cuisses et introduis 3 doigts dans ma chatte en titillant mon clito avec son pouce. Il s’exclame « elle est trempée la coche ! » et il me défonce très fort en léchant mon petit bouton. Il ajoute « Je savais que c’était une pute, un vrai garage à bites et je me doutais qu’elle ne mettait pas de culotte cette salope ». Plus il m’insulte plus je jouis mais je n’ose pas crier car Annie n’est pas loin. Axel présente sa queue pour que je le suce et Johann se branle en retrait. Georges baisse ses pantalon et caleçon, soulève mes reins et me pénètre en me disant « tiens, chienne, je vais te défoncer ta chatte ». Je ne peux que sucer et lécher le gland d’Axel tellement l’orgasme est intense. Ludo laisse la place à Johann pendant qu’il retire son pantalon et Georges me secoue de plus en plus fort. Je branle Axel et Johann, Ludo vient poser sa queue sur ma bouche. Alors que je suis en pleine extase, Georges se retire sans jouir et dit à Axel de prendre sa place. Il s’agenouille dans le canapé, met mes jambes sur ses épaules et me pénètre lentement. Je ne peux plus retenir mes gémissements et Ludo enfonce sa queue dans ma bouche pendant que je branle toujours Johann et que Georges me suce les tétons. Je sens ma cyprine me couler dans la raie des fesses pendant que la queue d’Axel entre et sort en glissant doucement en moi. Georges pousse la table basse et dit à Axel de venir s’allonger sur le dos, Il m’ordonne de me faire prendre le cul, je m’accroupis au-dessus de la bite d’Axel, il m’appuie sur les épaules pour que je m’empale et me repousse en arrière. Il demande à Johann de venir s’allonger sur moi et de me prendre le minou. Ludo et lui s’agenouillent de part et d’autre pour que je les branle. Je pousse des cris de plaisir et Ludo pose sa main sur ma bouche pour les étouffer. Les queues des 2 frères vont et viennent en moi et je sens mon corps qui tremble. Georges continue ses insultes en s’adressant à Ludo « t’as vu ! Comment elle aime ça, ta morue ! On va la défoncer de partout cette pute ». Ludo le surprend en lui répondant que j’en ai vu d’autres. Axel inonde mon cul de son foutre et ça me procure une jouissance encore plus forte. Johann se retire et gicle sur mon ventre, entre mes seins et quelques gouttes arrivent sur mon visage. Sans répit, Georges m’intime de me mettre à 4 pattes et il m’encule à son tour. Je m’accroche aux pieds de la table de salon et crie des « oui, encore, défonce moi, jouit vieux con ». Annie, alertée, apparait dans le salon et vient le gifler. Elle hurle de nous rhabiller et nous dit, à Ludo et moi, de partir avant qu’elle ne fasse un malheur puis elle gifle Georges à nouveau. Je me précipite vers la sortie et Axel me suit alors que Ludo et Johann essaient de calmer leur mère. Je suis toute tremblante à la fois à cause de l’énorme pied que je viens de prendre et à la fois de la peur qu’Annie vient de me faire. Axel me prend dans ses bras, me rassure, me roule fougueusement des pelles et me caresse tout le corps. Je succombe et lui ouvre sa braguette. Nous sortons de la maison et sur le perron je m’agenouille et le suce. Il me relève, range son engin et dit qu’il m’appellera puis il retourne à l’intérieur. J’ai les jambes en coton car je ne me suis toujours pas remise de mon orgasme infernal et je décide de marcher un peu en attendant Ludo. Il y a du soleil, il fait bon et je retire mon manteau que je porte sur mon bras. Je remarque que je retiens l’attention de 2 ados assis sur un banc. Ils sortent leurs téléphones et les pointent dans ma direction. Je pose mon manteau sur la boîte aux lettres et passe les mains dans mes cheveux. Mon sweat remonte et dévoile le bas de mes seins. Je leur tourne le dos et me baisse pour me frotter longuement la cheville. Ils voient tout de mon corps, mon cul, mon minou et mes seins. Mon excitation remonte et j’insiste en me frottant l’autre cheville. Je les vois se diriger vers moi et heureusement Ludo sort de la maison. Je me précipite dans ses bras, lui roule une grosse pelle et lui demande si ça va. Les ados ont rebroussé chemin et Ludo me dit que ça va se tasser mais que je ne suis plus la bienvenue. J’attrape mon manteau et nous montons dans la voiture. En passant devant les jeunes, je leur fait un large sourire et un petit coucou de la main que Ludo ne remarque pas. Ils me répondent avec des gestes obscènes et vocifèrent des mots que je ne comprends pas.
Il est 15h00, nous rentrons à l’appartement qui est désert et nous allons nous doucher. Sortis de la douche nous allons prendre un verre au salon et Ludo commence à me caresser. Je suis à fleur de peau et je frémis au moindre attouchement. Ludo me fait tendrement l’amour sur le canapé et il ne me faut pas longtemps pour jouir. Nous allons sur notre lit et nous reprenons nos ébats. Ludo me prend et me reprend dans toutes les positions sans que j’aie le temps de descendre de mon nuage, la porte de la chambre s’ouvre et je vois Sarah. Elle ressort de la chambre, je regarde l’heure, il est 19h00, Je n’en peux plus de jouir et Ludo non plus, il bande toujours mais n’arrive plus à cracher son foutre. Je me retire, ma chatte est en feu, j’attrape sa queue et constate qu’elle est brûlante. Je vais à la salle de bain et fais couler de l’eau froide sur 2 gants de toilettes. J’en mets un sur mon minou et ramène l’autre pour le poser sur la queue de Ludo qui pousse un ouf de soulagement. Sarah nous rejoint et se blottit au creux de l’épaule de Ludo. Elle nous raconte qu’elles sont toutes allées manger un steak frites et qu’ensuite elles sont allées au bar de Serge. William était ravi de se retrouver entouré de 6 splendides filles en chaleur. Il ne savait plus laquelle peloter ou doigter. Elles sont toutes sorties lui pomper le nœud mais il n’a craché la purée que les 2 premières fois dans la bouche de Coraline et Elodie. Sabrina est partie avec lui pour voir sa superbe demeure. Nous lui racontons notre début d’après-midi puis passons au salon. Ludo commande des pizzas et décide que ce serait Sarah qui ira les réceptionner. Nous lui expliquons le petit jeu et elle est enthousiasmée par l’idée. Je lui donne une nuisette si courte et transparente que l’on dirait qu’elle n’a rien sur le dos. Je constate, en voyant l’œil lubrique et le sexe de Ludo, qu’elle fait de l’effet. Il faut dire qu’elle a un corps sublime cette rouquine libertine et je pense que le livreur va être aux anges. Nous attendons patiemment en buvant un verre et Ludo chauffe Sarah en lui malaxant les seins. Il a une gaule d’enfer et elle le suce. Je repense à notre après-midi, il a éjaculé 6 fois en moi et il en veut encore mon bel étalon. Mon téléphone sonne, je vois que c’est Coraline et je réponds. Elle me dit que les filles veulent aller en boîte ce soir et me demande si Sarah et moi voulons venir. Je lui réponds que je me suis fait défoncer la chatte et le cul tout l’après-midi et lui raconte depuis notre arrivée chez les parents de Ludo jusqu’à l’arrivée de Sarah. Je n’en parle même pas à Sarah qui semble être plus intéressée par la queue de Ludo. Elle est en train de prendre son pied assise dessus, la sonnette retentit, je raccroche et elle va ouvrir après que Ludo est lancé les enregistrements. C’est le même livreur qui semble se souvenir de moi car il parait surpris en voyant Sarah. Il vérifie le numéro de l’appartement puis plonge ses yeux sur les seins et la chatte de Sarah. Il reste à la regarder de la tête aux pieds sans sortir les pizzas de son sac et il réagit lorsqu’elle lui dit bonsoir pour la troisième fois. Il ouvre fébrilement la fermeture, Sarah ne prend que le premier carton, se tourne et hésite. Les yeux du livreur sont rivés sur son cul et elle se baisse pour le poser à terre. Le livreur suit son mouvement et s’accroupit. Elle se redresse, se retourne, prend le deuxième carton et recommence. Le livreur est accroupi et la tête penchée sur le côté pour mieux voir son minou qui doit briller et être dilaté. Elle recommence avec le troisième carton, le livreur peine à refermer son sac et elle lui demande la facture. Il lui dit qu’elle était sur le premier carton, elle se tourne à nouveau, se penche et lentement bouge les boîtes. La main du livreur se tend vers son cul, il ferme le poing, le ramène à sa bouche et se mordille les phalanges. Sarah prend son temps, il tend à nouveau son bras et sa main vient effleurer ses fesses. Il la retire rapidement mais, comme Sarah n’a pas bronché, il s’enhardit et lui plaque la main au cul avec l’index tendu. Elle se redresse et se retourne rapidement. Il est tout penaud et elle lui dit que ce n’est pas bien de faire ça. Elle se rebaisse et n’arrive pas à arracher la facture du carton. Elle tourne la tête vers lui et dit « ce n’est pas parce que j’ai dit que ce n’était pas bien qu’il ne faut pas le faire ». Il avance, la doigte et lui malaxe le sein gauche. Ludo, en fourbe, se lève et se présente nu dans l’entrée. Le livreur est pétrifié le doigt dans la chatte de Sarah et Ludo dit « Chérie arrête de retarder le petit monsieur, on a faim ». Il arrache la facture, la regarde, se tourne vers moi et me demande d’amener 40 euros. J’amène nue l’argent à Ludo et Sarah est toujours penchée au-dessus des cartons avec le doigt du livreur planté en elle. Il le retire quand Ludo lui tend les sous et lui dit de garder la monnaie. Sarah se redresse avec les cartons et les amène au salon. Ludo ferme la porte et nous éclatons de rire. Nous mangeons nos pizzas en regardant les films que nous commentons et critiquons. Nous rions bien en nous moquant de la tête du jeune homme et son attitude. Ma pizza finie, je vais me coucher et, voyant la queue de Ludo, je leur souhaite une bonne bourre. A peine allongée, je m’endors.
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